Les Terrorismes
Aujourd’hui, le terrorisme est un phénomène international. En Corse, en Irlande, en Espagne , aux Etas - Units, des attentats ou des meurtres sont le fait de groupes extrémistes. En Algérie ou au proche Orient, les terroristes massacre ont au nom du islam ceux qu’ils considèrent comme infidèles. En Israël, un extrémiste juif a assassiné en 1995 l’ancien Premier ministre Ytzhak Rabin parce qu’il voulait faire la paix avec les Palestiniens.
Qu-est ce qu’on entend pas terrorisme?
Ces actes de violence, attentats ou prises d’otages, touchent souvent des civils innocents. Les terroristes utilisent la violence pour atteindre un but politique. Ils agissent dans la clandestinité. Eux mêmes se considèrent comme des résistants qui dénoncent la terreur de l’état. Dans certain cas, sous des régimes totalitaires ou sous des dictatures, la violence peut être la seule forme de résistance à un ordre oppressif. En France les Terroristes d’Action directe dans les années quatre vingt.
Pendant la guerre d’Algérie le FLN (Front de Libération National algérien) qui a organisé la lutte armée pour l’indépendance contre la France de 1954 a 1962 a commis de nombreux actes terroristes. Des attentats à la bombe spectaculaires contre la population européenne d’Alger ont fait des dizaines de victimes civiles. Après le processus de paix engagé par le général de Gaulle qui avait provoqué la révolte de nombreux Français d’Algérie (le pieds - noirs) et l’échec du putsch des généraux de l’armée Française en Algérie, l’OAS (Organisation armée secrète) a organisé dans la clandestinité la lutte terroriste pour garder l’Algérie Française. (Les généraux français en Algérie étaient contre la pax que voulait obtenir de Gaulle) Le partissants de l’OAS ont commis de nombreux meurtres et des attentats a la bombe en France et en Algérie.
Quand l’Algérie devient indépendante en juillet 1962 les chefs de l’OAS les généraux Salan et Jouhaud sont arrêtés.
La question corse
En Corse ce sont les se’jaratistes et les nationalistes qui commettent des actes terroristes de nationalisme corse a toujours été tres activé à notre épachque en particulier ou l’île de Beauté (c’est la nom que les Fancais donnent à la Corse) se voit confronté á de nombreuse problèmes souciause et économiques. Les autonomistes corse réclament pour l’Isle un statut particulier.
La révolution autonomiste s’affirme politiquement dès les années soixante-dix par l’occupation d’une cave viticole à Aléria, une opération conduite par l’ARC (Action régionalise corse) dirigeé par Edmont Siméoni. La violente réaction du pouvoir français radicalise les nationalistes qui fondent, en 1976, le FLNC (Front de libération nationale de la Corse). Le FLNC manifeste sa détermination par des «nuits bleues» dont les bombes visent tous les symbols de État. Le FLNC est proche idéologiquement des mouvements tiers mondistes des années soixante-dix. L’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981 accorde à la Corse un statut particulier qui ne contente pas l’aile radicale des autonomistes qui clame l’independence.
Le FLNC est dissous par Pierre Mauroy en 1983. Les Attentats reprennent dans un climat de violence mourri par des meurtres d’indépendantistes et de représentants de l’État. Les autonomistes n arrivent pas à conolonner leur lutté car ils sont diverses, une façade légale du FLNC, reprend contact avec le pouvoir mais, simultanément, il se divise en sous-branches rivales (MPA- Mouvement pour l'autodétermination, ANC: Accolta naziunale corsa) ayant chacune une activité militaire clandestine.
En 1996, cette guerre entre factions va faire des morts dans des a Attentats de plus en plus violents et aveugles.
La situation présente est celle du statu quo bloqué avec tous les risques de dérives meurtrières ou mafieuses, qui peuvent s’en suivre.
Action directe:
Consument la dérive libertaire conduit au meurtre
C'est un groupuscule né dans la mouvance des Autonomes qui va prendre il relais de la violence révolutionnaire au milieu des années soixante-dix:, Action directe il se veut à la fois communiste et libertaire. Jean-Marc Roullan, le fondateur, fait ses débuts aux côtés des anarchistes espagnols en lutte contre le franquisme. Arrêté une première fois en 1980 pour quelques attentats spectaculaires, il bénéficie d’ une amnistie en 1981. Le pas meurtrier est franchi avec l'assassinat du général Audran en 1985 et du P-DG de la Régie Renault, Georges Besse, devant son domicie le en 1986. Le 21 février 1987, la cavale d’Action directe prend fin dans une ferme du Loiret où Jean-Marc Rouillan, Nathalie Ménigon, Joelle Aubron et Georges Cipriani sont arrêtés par les policiers du Raid.
Une branche lyonnaise d’Action directe, profondément antisémite, composée de Max Frirot et d’André Olivier, sera aussi démantelée en 1986. D'autres groupes agiront dans la même mouvance, tels que les cellules communistes combattantes de Pierre Carrette en Belgique.
La lutte contre le terrorisme
En France, la lutte contre le terrorisme est l'affaire de services spécialisés: La DGSE (Direction générale de la sûreté extérieure) pour les renseignements et l'action à l'extérieur des frontières, et la DST (Direction de la surveillance du territoire) à l’intérieur. Ces organismes surveillent ou auscultent la menace. La lutte est politiquement coordonnée par le Comité interministériel de lutte antiterroriste (Cilat).Il commande lui-même l'Unité de coordination de lutte antiterroriste (Uclat) qui rassemble l'ensemble des services et des forces sur le terrain, de l’armée, de la police ou de la justice.
Des juges d'instruction de la quatorzième section du parquet de Paris sont spécialises dans l'investigation des affaires terroristes.
- Arbeit zitieren
- Michael Jirgal (Autor:in), 2000, Les Terroristes en France, München, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/100282