L`image de la femme dans "Les Précieuses ridicules" de Molière


Facharbeit (Schule), 2002

12 Seiten, Note: 1


Leseprobe


Inhaltsverzeichnis

1 Introduction

2 La Situation dans le 17ième siècle
2.1 Les femmes dans la société
2.2 L’idée de la « Préciosité » et du « Bel Esprit »
2.3 La vie de Molière

3 Les Précieuses ridicules
3.1 Un sommaire des « Précieuses ridicules »
3.2 Analyse de l’image des Précieuses dans la scène
3.3 Analyse de l’image des Précieuses dans la scène

4 Conclusion

Bibliographie

Appendice

1 Introduction

Je dois dire, que le thème des « Précieuses ridicules » ne m’enthousiasmait pas beaucoup au début. Quand je l’avais choisi, je n’avais pas d’idée concrète de ce que je voulais ou devais faire, donc j’ai pris ce que je pensais le plus facile et peu compliqué. Une grande erreur, comme j’ai constaté. J’étais en train de finir ce travail ennuyeux quand mon ordinateur est tombé en panne toutàcoup. « Mal »heureusement je n’avais pas sauvegardé ma dissertation, ainsi je devais l’écrire encore une fois. Sans ordinateur et la possibilité d’écrire quelque chose de vite, j’avais beaucoup de tempsàlire plus sûr le thème qu’absolument nécessaire. C’était là que j’ai réalisé que la matière des « Précieuses ridicules » et beaucoup plus que je croyais d’abord. Ce n’est pas seulement l’aptitude de Molière de montrer tous les points faibles de l’homme vraiment ridicule d’une manière sincère incroyable, qui ont attiré mon attention enfin, c’est également le fait qu’on peut trouver l’esprit de tout un siècle dans cette œuvre. Un esprit, qui est aussi plus actuel qu’on présume d’abord, parce qu’il est estampé d’un côté féminin exagère.

Pour donner une bonne vue d’ensemble, je vais commencer dans la première partie de cet essai avec un récit sur quelques aspects importants de l’époque de cette comédie et me concentrer sur une fonction analytique dans la dernière partie. Je n’ai non seulement choisi les caractères de Magdelon et Cathos pour l’analyse, mais j’ai également ajouté aussi la servante Marotte pour donner un contrasteàla manière de Précieuses. A cause de l’étendue de l’œuvre, j’étais seulement en mesure de traiter quelques scènes exemplaires concernant les femmes de la comédie, mais je pense que pourtant l’essai est compréhensible et qu’il traite tous les aspects importants.

2 La Situation dans le 17ième siècle

2.1 Les femmes dans la société

Avec considération sur le thème, j’expliquerai en détail seulement la situation de la femme bourgeoise et noble, pourtant on doit dire brièvement que les femmes des classes défavorisées ne prennent pas part dans les mouvements suivants. Pendant le règne de Louis XIV, le Roi-Soleil, l’image des femmes s’était développée de son rôle rigide dans le moyen âge pour passeràune vue éclairée de la femme. Les femmes du 17ième siècle avaient la possibilité de bouger librement dans un monde masculin. Dans les salonsàla cour de même que dans leurs maisons, les femmes sont devenues très actives en essayant d’accomplir leurs buts personnels ambitieux. Il y avait plusieurs femmes qui avaient une grande influence sur quelques personnages importantsàla cour. Pourtant les femmes n’avaient pas le droit de prendre des postes.

Mais pas toutes les femmes voulaient vivre une vie d’influence. Beaucoup parmi elles étaient contentes de rester impolitiques. Pourtant cela ne veut pas dire, que ces femmes sont retombées dans le rôle démodé des générations féminines anciennes. Elles ont seulement découvert un autre aspect de la vie élégante de ce temps : La Préciosité.

2.2 L’idée de la « Préciosité » et du « Bel Esprit »

Avant de parler ici en détail sur la comédie de Molière, il est nécessaire de s’interroger sur l’esprit principal de son époque. La Préciosité, c’était un « courant de pensée qui [ … ] se traduisit dans les m œ urs aristocratiques par un comportement social, notamment amoureux, d ’ un raffinement extr ê me. » (Microsoft Encarta, « Préciosit é ») Cela veut dire que la préciosité peut être comprise comme une forme de conduite sentimentale qui était très répandue pendant l’époque de l’Absolutisme. Dans une société représentée aux salons privés, la noblesse et même quelques bourgeois s’entraînaient dans l’affinement du comportement sensible, de la langue amoureuse et de l’apparence belle, mais toujours sous l’aspect de l’amour platonique.

Quoique les Précieuses soient féminines, comme par exemple Mme de Scudéry, l’écrivain influente et célébrée, qui a estampé la littérature beaucoup avec ses romans romantiques, il y avait aussi quelques hommes qui se vouaientàcette idée. Ils étaient des « Bels Esprits », qui essayaient surtoutàla cour de recevoir influence en gagnant l’attention du roi avec l’art du « Bonmot » ; des remarques amusantes.

Malgré tous les aspects positifs qui le rendaient possible que tout un siècle faisait un pas important dans la direction d’éclairement, la préciosité avait beaucoup de temps une mauvaise réputation. Le cause de cela se trouve dans l’augmentation constante de la conduite précieuse presque jusqu’à devenir ridicule. D’un mouvement, qui voulait affiner la formation et les manières, la préciosité se développait dans un mode de vie affecté. (Voir : Nouveaux classiques Larousse, La satire de la Préciosité, p. 13 ff)

2.3 La vie de Molière

Jean-Baptiste Poquelin, « ce [futur] grand peintre de l ’ homme tel qu ’ il est » (Stendhal, www.alalettre.com/moliere-intro.htm ), est néàParis en 1622 comme fils d’un marchand tapissier riche. En raison du fort désir de son père, Molière recevait une formation estampée de la pensée de la rationalité et il faisait des études dans les sciences. Puis il a décidé de devenir comédien, et après quelques années tumultueuses en Provence, il revintàParis avec beaucoup de projets. En 1660, il assumait le Théâtre du Palais Royal, où il écrivait des comédies et où il se mettait en scène aussi. Là, il avait son premier grand succès avec « Les Précieuses ridicules », après cela il deviendra le plus grand comédien français et protégé du grand roi lui-même. Ses pièces étaient toujours géniales, parce que sa seule ambition était de « peindre [l’homme] d ’ après la nature ». (Encarta, « Précieuses ridicules ») C’est inclure toutes ses faiblesses aussi. Bien que Molière se fasse beaucoup d’ennemis avec son style particulier, il n’était jamais son intention de blesser quelqu’un. Il voulait seulement plaire avec des caricatures bêtes, mais tout de même vraies, de tous les gens ; y compris lui-même.

3 Les Précieuses ridicules

3.1 Un sommaire des « Précieuses ridicules »

Dans son œuvre « Les Précieuses ridicules » écrit en 1659, Molière montre l’histoire des deux jeunes filles bourgeoises riches, Magdelon et sa cousine Cathos, qui visitent Paris pour la première fois. Elles sont si marquées par l’esprit de ce temps, qui est la préciosité, qu’elles trouvent leurs prétendants, les seigneurs La Grange et Du Croisy, soutenus par Gorgibus, père de Magdelon et oncle de Cathos, peu romanesques et moins galants en amour, qu’elles en rêvent. Donc elles les repoussent si vivement que les deux amants rejetés, humiliés par autant d’insolence, cherchentàse venger. Ils envoient leur valets, Mascarille et Jodelet, déguisés en marquis avec des manières précieuses pour séduire les filles par leur « bel esprit ». Leur cour est si mondaine et leur comportement si affecté qu’ils charment les Précieuses jusqu’à ce qu’elles découvrent finalement qu’elles ont été scandaleusement abusées. (Voir, Encarta, « Précieuses ridicules »)

3.2 Analyse de l’image des Précieuses dans la scène 4

La scène 4 fait encore partie de l’exposition de l’œuvre. Elle est la première scène où le spectateur voit les filles elles-même et où il apprend beaucoup sur leur comportement et leurs idées. C’est ici que les jeunes filles expliquentàGorgibus, qui est très furieuse de leur conduite envers les deux soupirants, qu’il voudrait marier les filles, ce qui est leur idée d’une vraie relation amoureuse. A l’opinion de Magdelon qui se complait que les gentilshommes ne montrent pas d’aspect d’un bel esprit, le mariage [qui les deux hommes les ont proposées] ne doit jamais arriver qu ’ après les autres aventures.

Il faut qu ’ un amant, pour ê tre agréable, sache débiter les beaux sentiments, pousser le doux, le tendre et le passionné, et que sa recherche soit dans les formes. (Reclam, Magdelon, scène 4, p.18)

La première question qu’on doit se poser est de savoir sur quelques formes Magdelon parle ici. Le phénomène qui apparaît ici revient continûment dans l’œuvre, le fait que Magdelon parle toujours sur des règles inconnues, des règles, qui tiennentàla manière de vie précieuse. Au début de la scène elle a parlé du procédéirrégulier que La Grange et Du Croisy ont monté quand ils font leur demande de mariage sans passer par la passion et les beaux sentiments dont Magdelon a parlé d’abord. Il devient clair que toute sa vie elle est trop fixée sur ce qu’elle pense être le beau monde qu’elle cherche partout pour ces idées. Elle et sa cousine connaissent tous les romans précieux et faute d’alternatives elles les font leurs directives dans un monde auquel elles veulent appartenir, mais qu’elles ne comprennent pas. Cela se voit quand on regarde la manière,àlaquelle Magdelon énumère le procédé « standard » de l’amour.

Après cela viennent les aventures, les rivaux [ … ], les persécutions des pères, les jalouses con ç ues sur de fausses apparences, les plaintes, les désespoirs, les enlèvements, et ce qui s ’ ensuit. (Reclam, Magdelon, scène 4, p.20)

Elle récite cela d’une manière qu’on dirait qu’elle l’a appris par cœur et cela n’est pas une théorie d’elle-même. Alors il devient clair que les filles seulement prétendent d’être des Précieuses, ce qui est aussi raison pour le grand comique de l’œuvre. Pourtant il est fait que les filles ne savent pas qu’elles sont de Précieuses « fausses », ce qui les approche des héroïnes tragiques. Elles vivent un rêve, peut-être même une illusion, qui cause qu’elles comprennent la vie seulement par leurs romans et qu’elles refusent tout ce qui n’est pas écrit là. Elles s’identifient totalement avec leurs héroïnes, mais elles ne peuvent jamais être comme elles.

Le ridicule qui se trouve ici est que les filles ne sont pas en mesure de réaliser leurs hautes idées elle-mêmes. Quand Gorgibus parle du mariage, Cathos le refuse absolument, même comme une suite naturelle de l’amour précieuse et elle explique qu’elle ne peut [pas] souffrir la pensée de coucher contre un homme vraiment nu. (Reclam, p. 24) Magdelon ne comprend pas non plus le vrai caractère de passion et d’amour, ce qui devient clair quand elle parle sur le besoin de s’ accoutumer sensiblement au discours de [ … ] passion. (Reclam, p. 20) Avec cette antithèse certainement ridicule, elle donne au spectateur une finale impression contradictoire. Comment est-ce qu’on peut s’accoutumeràla passion ?

On peut expliquer ce comportement qui semble gâteux d’abord avec le point de vue des Précieuses envers l’amour. L’amour passionné n’était pas accepté dans leur société, et toute la conduite romantique avait seulement le but de l’amour platonique et de la galanterie. Ainsi il est compréhensible ce que les filles n’aiment pas l’idée de l’amour et du mariage, mais il reste le fait que Cathos et Magdelon soient très sensiblesàla séduction physique du Mascarille et Jodelet dans les dernières scènes. (Voir : scène 9, scène 11, scène 12)

Il est aussi frappant que chaque mot que les filles disent au début de leur énumération de l’amour précieuse, est impersonnel. (Voir en bas) Mais toutàcoup, Magdelon change dans son explication de l’expression impersonnelleàla première personne plurielle.

Le jour de déclaration arrive, qui se doit faire ordinairement dans une allée de quelque jardin, tandis la compagnie s ’ est un peuéloignée ; et cette déclaration est suivie d ’ un prompt courroux, qui para î tàNOTRE rougeur [ … ] (Reclam, Magdelon, scène 4, p.18 et 20)

Ici un rapport objectif change pour devenir subjectivement avec l’expression notre rougeur, et alors on peut parler d’une autre indication que les filles ne voudraient mieux que vivre une vie dans un de leurs romans. Magdelon et, dans une moindre mesure Cathos aussi, rêvent d’une vie aristocratique et elles ne veulent pas accepter qu’elles sont « seulement » bourgeoises. Pour ce rêve elles sont prêtesànier leur existence réelle, ce qui est aussi visible dans leurs expressions.

[ … ] ce que vous dites làest du dernier bourgeois. Cela me fait honte de vous ou ï r parler de la sorte, et vous devriez un peu vous faire apprendre le bel air des choses. (Reclam, MagdelonàGorgibus, scène 4, p.18)

Elles savent qu’elles sont bourgeoises, mais elles veulent l’oublier, en se comportant noblement et faire leur père se comporter comme un noble aussi. Ce désire est vraiment la grande différence entre elles et Gorgibus. Il est un homme tout bourgeois, qui s’appelle lui-même un ma î tre absolu. Il croyait en le mariage et il dit ce qu’il pense avec des expressions simples mais pertinentes, qui sont en contraste fort avec les idées et la langue des Précieuses. Cette différence se montrer bien dans l’utilisation de deux registres de langue très différents, qui les deux parties choisir. Le contraste de ces registres ouvre aussi une nouvelle dimension comique. Le jargon plus vulgaire du maître, d’abord, [ graisser le museau (Reclam, scène 4, p.16)] et puis le raffinement exacerbé des filles [ une habit qui souffre une indigence de rubans (Reclam, Cathos, scène 4, p.20)], sont des moyens, qui aidentàrenforcer le pressentiment du spectateur, que les deux partis ne viendront jamaisàune solution collective.

3.3 Analyse de l’image des Précieuses dans la scène 6

La scène 6 et la première scène de l’action centrale. Ici les deux Précieuses apparaînt avec la servante Marotte, qui annonce d’arriver de Mascarille. Marotte est de toute évidence le membre d’une classe défavorisée et elle donne un autre contraste au comportement des Précieuses, pendant que leur apparence donne aussi la possibilité de regarder un caractère féminin du 17ième siècle plus pratique que celui des Précieuses. D’abord il est notable que le registre de langue aussi et les manières très rudes de Marotte sont en conflit naturel avec le comportement affecté des filles.

Marotte : Voilàun laquais qui demande si vous ê tes au logis, et dit que son ma î tre vous veut venir voir.

Magdelon : Apprenez, sotte,àvousénoncer moins vulgairement. Dites : « Voilàun nécessaire, qui demande si vous ê tes en commoditéd ’ê tre visibles. » Marotte : Dame ! je n ’ entends point le latin, et je n ’ ai pas appris, comme vous, la filofie dans Le Grand Cyre. (Reclam, scène 6, p.27)

Ce dialogue donne une bonne impression de l’antithèse comique que Molière a voulu montrer avec les registres de langue différents. Marotte prend le rôle de figure du peuple, un rôle dans lequel on peut voir le bon sens populaire dans la comédie. En raison de l’incompréhension de Marotte envers les propos des Précieuses on peut voir encore une fois le ridicule dans tout le comportement des Précieuses. Marotte est alors un facteur qui souligne le ridicule tout ensemble. Ici on doit dire pourtant qu’à cette époque personne n’a parlé comme Magdelon et Cathos. Bien que les Précieuses historiques aient grande peur d’être comme tout le monde et en conséquence elles ne parlaient pas comme tous les gens, leur langue n’était pas trop exagérée que celle des deux filles. Pour cette raison on peut conclure que Magdelon et Cathos ne sont rien que des snobs, ce qui est défini de la manière suivante :

Le snob [ … ] chercheàpara î tre ce qu ’ il n ’ est pas, et pour cela emprunte, sans discernement, le langage et les manières propres au milieu distinguéauquel il aspire. (Petits classiques Larousse, Snobisme du titre, p.128)

Cette définition va parfaitement pour les deux filles parce qu’elles veulent paraître ce qu’elles ne sont pas, même si elles n’ont pas atteint leur but, parce qu’elles ont des idées fausses de la vraie nature de la Préciosité. Cependant elles sont des snobs d’une autre manière. Elles traitent Marotte de façon très dépréciante parce qu’elle n’est pas appropriéeàleurs idées du beau monde. Elle demande Marotte de tendre [ … ] le conseiller des gr â ces (Reclam, Magdelon, scène 6, p.27), ce que la fille ne comprend pas. Par moi foi, je ne sais point quelle b ê te c ’ est là: il faut parler chrétien, si vous voulez que je vous entende. (Reclam, Marotte, scène 6, p.27) Maintenant on peut vraiment voir que les filles pensent que Marotte est inférieure parce qu’elle n’a aucune d’idée de la Préciosité. Elles disent : Apportez-nous le miroir, ignorante que vous ê tes, et gardez-vous bien d ’ en salir la glace par la communication de votre image.

(Reclam, Cathos, scène 6, p.27)

Que Marotte ne comprend pas la Préciosité tout ensemble, devient clair quand elle parle sur la « filofie de dans Le Grand Cyre », qu’elle n’a pas appris. Comme elle est membre d’une classe défavorisée, elle avait une vie très dure a ce temps et ni l’argent ni le temps pour obtenir une haute formation, mais devait se concentreràsurvivre. En conséquence elle ne sait rien sur la philosophie et elle ne connaît pas le roman adoré et beaucoup cité par Magdelon et Cathos, Le Grand Cyrus par Mme Scudéry. Elle dit Cyre, ce que résonne comme Sir (Monsieur), ce qui ajoute vraiment au ridicule de la situation.

4 Conclusion

En conclusion, je dois ajouter que Molière n’avait pas une mauvaise image de la femme du tout, comme il pouvait apparaître dans mon essai,àcause de manquer d’une comparaison avec beaucoup d’autres figures masculines ridicules. L’intention de Molière était seulement de plaireàses spectateurs avec des caractères féminins si excessifs et si ridicules, mais aussi très naturels, que les gens ont un sentiment de rencontrer une personne de leur connaissance.

Les faiblesses féminines, ce qu’il montre, par exemple la vanité, nous connaissons toutes de nôtre-même. Ici je pouvais trouver son vrai génie comique, parce que je riais sur les mêmes faiblesses que j’ai aussi. Ce qui concerne son attitude contre les Précieuses, il est évident, qu’il était contre ce mouvement, qu’il trouvait trop exagéré,àcause de son éducation rational. Cependant il savait reconnaître les acquisitions de la Préciosité avant ses désavantages et son œuvre ne se dirige pas contre la Préciosité elle- même, mais il voulait seulement montrer les faiblesses d’une manière qui mettait attentions auxquelles, sans du critique méchant. Donc comme j’ai déjà expliqué, cela était seulement son deuxième but. Le premier but était de plaire. Ce que je trouvais personnellement très intéressant, c’était les parallèles avec le temps moderne, qu’on peut détecter dans l’œuvre. D’abord je croyais que les « Précieuses ridicules » n’avaient rien de faire avec la modernité, mais comme je me commençais plus avec leur époque, je découvrais que l’esprit de la Préciosité est encore important parce qu’il est le seul esprit de l’histoire ancienne qui a estampé par un côté féminin. L’affinement des manières et de la culture était toujours seulement possible aux sociétés ou il y avait une certaine égalité de la femme. C’est vrai pour notre société aujourd’hui et évidement il était vrai pour la société précieuse. Par conséquent, la Préciosité était une de premiers mouvements, qui causaient la liberté de la femme comme nous la connaissons aujourd’hui. C’est pourquoi on peut dire qu’elle était un mouvement historique très important et très actuel envers l’image de la femme.

Bibliographie

Monographie:

Grammaire Pratique du français. Hachette Livre 2000.

Langenscheidts MAXI Wörterbuch Französisch. Französisch-Deutsch. Deutsch Französisch. Langenscheidt 2001

Les Précieuses ridicules/ Die lächerlichen Preziösen. Molière. Reclam 1997.

Les Précieuses ridicules. Molière. Texte intégral. Petits classiques Larousse 1998.

Les Précieuses ridicules. Molière. Nouveaux classiques Larousse.

Manuel des études littéraires française. XVIIième siècle. G. Becker. P. Surer. P-G. Castex. Classique bachette.

Thematischer Grund- und Aufbauwortschatz. Französisch. Klett 2000.

Lexikonartikel:

Bertelsmann Lexikon Verlag. Bertelsmann Discovery’98, Stichwort „Molière“

Bertelsmann Lexikon Verlag. Bertelsmann Discovery’98, Stichwort „Preziösen“ Encyclopédie Microsoft. Encarta. 2001. Stichwort « Préciosité » Encyclopédie Microsoft. Encarta. 2001. Stichwort « Précieuses ridicules »

Internet:

http://www.alalettre.com/moliere-bio.htm 3.02.02

http://www.alalettre.com/moliere-intro.htm 3.02.02

http://www.theaterimbahnhof.de/Autoren/Moliere/hauptteil_autoren_moliere.html

3.01.02

Videofilme:

Ridicule - Von der Lächerlichkeit des Scheins. Frankreich, 1996. Patrice Leconte.

Erklärung:

„Ich erkläre, dass ich die Facharbeit ohne fremde Hilfe angefertigt habe und nur die im Literaturverzeichnis angeführten Quellen und Hilfsmittel benutzt habe.“

Ende der Leseprobe aus 12 Seiten

Details

Titel
L`image de la femme dans "Les Précieuses ridicules" de Molière
Note
1
Autor
Jahr
2002
Seiten
12
Katalognummer
V106246
ISBN (eBook)
9783640045259
Dateigröße
429 KB
Sprache
Deutsch
Schlagworte
L`image, Précieuses, Molière
Arbeit zitieren
Tanja Küchen (Autor:in), 2002, L`image de la femme dans "Les Précieuses ridicules" de Molière, München, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/106246

Kommentare

  • Noch keine Kommentare.
Blick ins Buch
Titel: L`image de la femme dans "Les Précieuses ridicules" de Molière



Ihre Arbeit hochladen

Ihre Hausarbeit / Abschlussarbeit:

- Publikation als eBook und Buch
- Hohes Honorar auf die Verkäufe
- Für Sie komplett kostenlos – mit ISBN
- Es dauert nur 5 Minuten
- Jede Arbeit findet Leser

Kostenlos Autor werden