Analyse des Romans "Le Neveu de Rameau" von Diderot


Dossier / Travail de Séminaire, 2009

28 Pages, Note: 1,0


Extrait


Table des matières

1. Introduction

2. Genèse et édition du « Neveu de Rameau »
2.1. La date
2.2. Le titre
2.3. Manuscrits et édition du « Neveu de Rameau »

3. L`arrière-plan historique et la satire
3.1. La « Querelle des Bouffons »
3.2. L`Encyclopédie et la cabale anti-philosophique
3.3. Une oeuvre de polémique

4. La structure du « Neveu de Rameau »
4.1. Les « épisodes » du récit
4.2. Rôle des passages narrés
4.3. La fin du dialogue

5. Les problèmes moraux dans « Le neveu de Rameau »
5.1. Position du problème
5.2. L`opposition statique : être/paraître
5.2.1. Le couple Nature/Culture
5.2.2. Puissance/Acte
5.3. L`opposition dynamique : être/devenir
5.3.1. Idiotismes et morale personnelle
5.3.2. Morale politique

6. L`homme du dialogue et ses personnages
6.1. Le dialogue philosophique : genre ou nécessité
6.2. Les personnages
6.2.1. Moi
6.2.2. Lui
6.2.3. Diderot, Moi et Lui

7. L`art du dialogue dans « Le neveu du Rameau »
7.1. Les éléments du dialogue
7.1.1. Les niveaux de langage
7.1.2. Les tons : humour et ironie
7.1.3. Les rythmes narratifs et oratoires
7.2. Les pantomimes

8. Conclusion

9. Bibliographie

1. Introduction

Ce mémoire est une tentative d’analyser le roman de Diderot « Le neveu de Rameau » sur la base de lectures critiques des articles de tels chercheurs que Daniel Couty, Roger Laufer, Jacques Chouillet et d’autres qui se sont consacrés à l’étude profonde de l’oeuvre de cet écrivain. Après avoir présenté brièvement l’histoire de la publication du roman et après un court parcour sur la vie publique de la France des années 1750-70, on va présenter la structure du roman. Ensuite ce sont les problèmes moraux qui seront analysés suivis par les reflexions consernant le genre. La caractéristique des personnages est une partie importante du mémoire ainsi que le chapitre dedié à l’art du dialogue dans « Le neveu de Rameau ». Finalement, l’originalité de l’oeuvre doit être mise en relief.

2. Genèse et édition du « Neveu de Rameau »

2.1. La date

Le neveu de Rameau est « une oeuvre énigmatique à tous les niveaux et par quelque côté qu`on l`aborde »- écrit Daniel Couty1 dans son analyse critique et il a raison. Comme commençant par la date et continuant par la signification et le genre, le lecteur se pose toujours des questions : quand est rédigée cette oeuvre ? le texte actuel est-il définitif ? quelle signification donner à cet échange de propos en apparence incohérent ? qui représentent Moi et Lui ? y a-t-il une unité dans ce dialogue ? et d`autres. Alors, on va essayer de trouver les réponses.

Le texte peut-il être daté ? Les problèmes de datation ont été et sont toujours un objet de discussion entre les chercheurs.Tout d`abord, il faut dire qu`aucun témoignage, pas la moindre allusion au Neveu de Rameau ne nous ont été transmis par le XVIIIe siècle. La correspondance de Diderot qui est bien souvent une chronique de son travail d`écrivain et l`on peut, grâce à elle, dater avec précision plusieurs de ses oeuvres, reste muette sur Le neveu de Rameau. C`est donc dans l`oeuvre elle-même qu`il faut chercher des indices qui permettraient de la dater. Et vraiment, Le neveu de Rameau est riche en allusions à des faits contemporains qu`il est souvent possible de situer dans le temps.

Dans son livre « La formation des idées esthétiques de Diderot.1745-1763 » Jacques Chouillet2 élargit l`idée d`une table de concordance proposée par un de ses collègues et dresse tout un tableau éloquent avec les années (de 1750 a 1780), les références historiques et les références littéraires (p.ex. : la comédie des Philosophes (1760), l`époque du ménage Bertin-Hus (1761), diverses représentations d`opéras, l`âge d`Angélique Diderot, la mort de la femme de JeanFrançois Rameau et l`existence de son fils (1761) et d`autres) en analysant lequel il prouve que la conception initiale du Neveu date bien de 1761.

Un autre groupe de chercheurs, celui d`Henri Coulet, mentionné par Anne-Marie Chouillet3 dans « L´introduction à la lecture du Neveu de Rameau », donne des renseignements chronologiques plus tardifs qui s`égrènent jusqu`en 1772-73 : « l`oncle de Rameau est mort en 1764, les Calas n`ont été réhabilités qu`en 1765, les Trois siècles ont paru en 1772 »4 et date la rédaction des années 1773-74.

Chez Couty on peut lire que « la chronologie de l`oeuvre se moque de l`exactitude historique » et « qu`il serait vain de vouloir fixer la date de chaque passage de l`oeuvre, pas plus qu`il n`est possible d`isoler un noyau originel sur lequel se serait peu à peu édifiée l`oeuvre définitive »5. De sa part, ce chercheur affirme que « la genèse du Neveu de Rameau se poursuit encore en 1771-72 pour ne s`achever qu`aux alentours de 1774-75 »6.

La conclusion est évidente: Le neveu de Rameau n`a pas été composé d`un seul jet, l`oeuvre a mûri et s`est enrichie pendant plusieurs années ce qui a permis de dresser un vaste tableau de la société contemporaine qui est beaucoup critiquée dans ce roman. Alors, la discussion continue.

2.2. Le titre

Rameau le neveu

Tout d`abord, on croyait que Rameau le fou était un personnage inventé. Mais apres avoir fait des recherches on a constaté que ce personnage porte le nom d` une personne réelle, bien connue des Parisiens cultivés, qui était le protagoniste idéal.

Jean-François Rameau est né en 1716 à Dijon. Il s`engage à vingt ans dans l`armée, puis passe par le séminaire. Il devient ensuite professeur de musique et compose des pièces pour clavecin publiées grâce à la protection de Bertin, mais il tâte de la prison, pour sa conduite turbulente on le menace même de l`envoyer aux Iles, plusieurs fois il est enfermé dans un asile de fous ou on pouvait trouver à l`époque les gens qui étaient un peu particuliers et se distinguaient des autres. En 1757 il épouse Ursule Fruchet, âgée de 24 ans. Sa femme est morte en janvier 1761, et leur fils en juin 1761. Bref, la diversité de ses expériences, le désordre de sa vie de bohème et son allure souvent débraillée lui donnent tout le pittoresque d`un héros de roman.

Il était assez instruit et doué pour devenir l`interlocuteur d`un philosophe. Sa biographie rend vraisemblable le rôle de cynique que lui distribue Diderot : il a effectivement été aidé par de riches protecteurs, son oncle, mort en 1764, ne lui ayant rien laissé. Le poème autobiographique qu`il a composé, La Raméide, « donne une tout autre image de lui : fils respectueux, tendre mari, père attentif, musicien croyant dans son art... La vérité de la personne se situait probablement entre ces deux personnages, entre le pastel de la Raméide et l`eau-forte du Neveu... Diderot a forcé ses traits pour marquer le contraste avec la sagesse ordonnée de Moi et pour en faire le révélateur d`une société »-écrit Maurice Mourier7 dans ses commentaires du roman pour l`édition Pocket.

Il faut encore ajouter que ce musicien « raté» est le neveu de Jean-Philippe Rameau, un des plus célèbres compositeurs du temps, emblème de la musique française : pourquoi l`un a-t-il su créer une oeuvre suivie et l`autre non ? Qu`est-ce qui différencie le génie et le talent ? Question essentielle pour Diderot.

« Satire seconde»

Elle fait suite à la Satire premiere et en reprend quelques traits sur les idiotismes de langage. Le sous-titre met en évidence la volonté critique de Diderot : bizarreries et incohérences de la société contemporaine. Il souligne aussi le côté « Silène», « pourceau d`Epicure » du Neveu. Peut-être l`auteur veut-il aussi rappeler le liberté de la satura latine, genre sans contraintes stylistiques.

2.3. Manuscrits et édition du « Neveu de Rameau »

La premiere édition des oeuvres de Diderot est publiée en 1798 par Naigeon à qui le philosophe, quelques années plus tôt, avait confié une partie impotante de ses manuscrits ; or, si Naigeon fait dans son introduction une brève allusion au Neveu de Rameau, le texte du dialogue ne figure pas dans son édition ; on ignore la raison de cette omission. C`est Goethe qui publie en1805 le texte pour la premiere fois, dans une traduction dont il est lui-même l`auteur. Malheureusement, le manuscrit qu`il avait utilisé a disparu peu après. Il fallait attendre seize ans pour que deux éditeurs français entreprennent la publication d`une retraduction de la version de Goethe, sous forme d`un supplément à leur édition des oeuvres complètes. Deux ans plus tard, en 1823, un jeune éditeur, Brière, entreprend une nouvelle édition, fondée cette fois sur un manuscrit qu`il tient de Mme de Vandeul, la fille de Diderot ; mais Brière prend des libertés avec le texte, le censure et égare le précieux manuscrit qu`on lui avait confié. En 1875, Assézat s`est servi d`une autre copie. Touneux donne, en 1884, une édition encore améliorée basée sur la copie léguée a Catherine II. Mais il fallait attendre 1890 pour que Georges Monval, bibliothécaire de la Comédie-Francaise reconnaisse dans une collection de tragédies en vente chez un bouquiniste des quais, la fine écriture de Diderot. C`était une copie intitulée Satire 2de et Monval a reconnu le texte du Neveu de Rameau écrit de la main même de Diderot, texte impéccablement calligraphié et parfaitement lisible. Il publie l`année suivante une édition fondée sur ce nouveau manuscrit qui est devenu, sous le nom « manuscrit Monval », la base de toutes les éditions modernes du Neveu de Rameau; il est conservé aux Etats-Unis, à la Pierpont Morgan Library.

3. L`arrière-plan historique et la satire

3.1. La « Querelle des Bouffons »

La « Querelle des Bouffons » est l`épisode le plus marquant de la rivalité entre les tenants de la musique française et ceux de la musique italienne, entre les anciens et les modernes en matiere de musicologie. Et il me semble nécessaire de donner un petit aperçu sur l`introduction de la musique italienne en France parce que le Neveu de Rameau est une oeuvre littéraire qui est très riche en allusions à la musique.

Anne-Marie Chouillet8 et Daniel Couty9 donnent des expliquations détaillées sur l`état de la musique vers les années 1750-70. L`essentiel consiste en ce que déjà depuis le temps du compositeur français Lully (1632-1687) il y avait un conflit de tempérament national basé sur la question de rythme : la musique « à la française » est douce, la musique « à l`italienne » représente avec une violence étrange la passion. Dans ce climat tendu, une représentation de la troupe italienne des Bouffons a eu lieu en aout 1752 : ils donnent La servante maitresse, dont les héros sont des gens du peuple se mouvant dans un décor sobre mais réaliste. Le succès était éclatant mais cette représentation a provoqué des événements en chaine. Et on voit se former deux clans qui se disputent, se lancent en polémique et publient d`innombrables brochures pour animer ces débats : l`un avec Grimm, grand ami de Diderot, les encyclopédistes et autres, partisans de la musique italienne qui, selon eux, permet une meilleure expression des passions et l`autre qui défend la musique française. J.-J.Rousseau ne pouvait non plus rester indifférent et a publié sa Lettre sur la musique française dans laquelle il ridiculisait le chant français. Le compositeur Rameau lui a répondu par l` Observation sur notre instinct pour la musique. Bien sûr Diderot s`est trouvé aussi mêlé à la Querelle des Bouffons qui agitait le monde littéraire amateur de musique bien qu`il soit peu intervenu. A.-M.Chouillet écrit que « seulement deux petits textes peuvent lui être attribués avec certitude : « Au petit prophète », daté de février 1753 et « Les trois chapitres », textes dont la diffusion semble avoir été très restreinte »10. Finalement la Querelle s`est terminée peu après au milieu de l`indifférence générale mais elle a entraîné la fin de la tragédie lyrique et a favorisé la création de l`opéra-comique qui est devenue plus populaire et de laquelle provenait la nouveauté. Il faut encore ajouter que Diderot a travaillé avec Rameau et connaissait bien ses opéras ainsi qu`il connaissait l`oeuvre des compositeurs italiens. C`est pourquoi, en lisant le Neveu de Rameau, on peut retrouver soit le titre, soit des aires de Rameau-musicien et en même temps, on voit dans le texte un nombre impressionnant de compositeurs ou d`instrumentalistes italiens. Et si on reste sur l`opinion que Diderot a travaillé sur son roman depuis des années, on peut supposer qu`il s`est servi de ce dialogue pour réfléchir encore une fois et exprimer son point de vue sur cette Querelle des Bouffons et pour se promener à sa fantaisie dans le monde musical qu`il connaissait si bien et qui défile devant le lecteur dès le début du roman avec Rameau jusqu`à la dernière page avec Dauvergne, en passant par tous les genres de musique et de musiciens.

3.2. L`Encyclopédie et la cabale anti-philosophique

L'année 1747 marque le début des pleines responsabilités de Diderot dans le vaste projet éditorial de l' Encyclopédie. Il s’agit d’un ouvrage majeur du XVIIIe siècle. D’abord parce qu’elle est la première encyclopédie française. Ensuite, par la synthèse des connaissances du temps qu’elle contient, elle représente un travail rédactionnel et éditorial considérable pour l’époque. Enfin, au- delà des savoirs qu’elle compile, le travail qu’elle représente et les finalités dont la chargent ses auteurs deviennent un symbole de l’œuvre des Lumières, une arme politique et, à ce titre, l’objet de nombreux rapports de force entre les éditeurs, les rédacteurs, le pouvoir séculier et ecclésiastique. Diderot dirige et rédige, avec D'Alembert, l' Encyclopédie ou Dictionnaire raisonnédes sciences, des arts et des métiers. Il s'investit dans la rédaction, la collation, la recherche, la réalisation des planches de 1750-1765. Il a personnellement rédigé le Prospectus (paru en 1750) et plus d'un millier d'articles. Il a consacré 20 ans de sa vie à ce projet qu'il n'a achevé qu'en juillet 1765, remplit de l'amertume due au manque de reconnaissance, aux errements de l'édition et au comportement des éditeurs. En plus, il ne faut pas oublier que Diderot était détenu à Vincennes en 1749 pour avoir exposé ses positions matérialistes dans sa Lettre sur les aveuglesàl'usage de ceux qui voient. La publication de l’Encyclopédie était intérdite plusieurs fois (1752, 1759) et la rédaction et la publication du texte se poursuivait clandestinement. Diderot s`est chargé de l’histoire de la philosophie ancienne, a rédigé encore le Système des connaissances humaines, sans compter qu’il devait, avec D’Alembert, revoir tous les articles.

Un autre de ses fardeaux, et non des moindres, fut d’essuyer la tempête qu`a provoqué l’ Encyclopédie parmi les ennemis du parti philosophique au cri de ralliement d’« impiété, irréligion. » La cabale n’avait même pas attendu l’apparition de l’ouvrage pour le diffamer mais, en 1758, Abraham Chaumeix a publié ses Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, et essai de réfutation de ce dictionnaire en 8 volumes. Ensuite est venue la Religion vengée, ou réfutation des auteurs impies, en vingt volumes (1757-63) du récollet Hayer. Un père jésuite nommé Le Chapelain, dans un sermon prononcé devant le roi , a fulminé contre l’ Encyclopédie. L’archevêque de Paris, Christophe de Beaumont, a lancé un mandement, le Parlement de Paris (à partir de 1746), le président a mortié du Parlement de Paris Omer Joly de Fleury, un réquisitoire. Pompignan a attaqué les philosophes jusqu’au sein de l’Académie tandis que Fréron criait à l’hérésie et au plagiat dans l'Année littéraire. Moreau, dans ses Cacouacs, Palissot, dans ses Petites lettres sur de grands philosophes (1757), ne cessaient de le harceler. Diderot ne répondait à ces persécutions de toutes espèces que par le silence. Palissot est allé plus loin en donnant à la scène le 2 mai 1760, la comédie les Philosophes où il appelle Diderot une bête.

Tout ceci n’empêche pas Diderot de rédiger ou superviser en tout plus d’un millier d’articles, signés , en matière d’économie, de mécanique, de philosophie, de politique et de religion dont « encyclopédie » et « autorité politique » jusqu’au jour où il peut enfin écrire : « Le grand et maudit ouvrage est fini ». En 1765, Diderot achève le travail de rédaction et de supervision. Prévue initialement pour tenir en 10 volumes, leur Encyclopédie en a occupé finalement 17 de texte et 11 de planches et a réclamé 24 ans de travail acharné.

3.3. Une oeuvre de polémique

Tenant compte de la situation décrite dans le chapitre 3.2., on peut dire que le Neveu de Rameau est donc pour l`écrivain « une revanche éternelle sur les quolibets innombrables que lui attira sa vie publique d`homme de lettres »11. Certes l`aspect polémique est présent dans le dialogue mais, d`apres Couty, « il ne sert que de « relais », de toile de fond, pour l`exposition des problemes fondamentaux de la conversation »12. Les thèmes généraux, les personnages de Lui et Moi, l`agencement artistique de l`ensemble ont compté sans doute davantage pour Diderot. En autre,ce qui peut restreindre la portée d`ensemble de la polémique : avant d`être une oeuvre publique, Le neveu était seulement une confession clandestine, un journal intime dialogué.

4. La structure du « Neveu de Rameau »

L`étude d`une oeuvre aussi riche et complexe que le Neveu de Rameu est rarement chose facile. En premier lieu, il convient d`isoler un certain nombre d`éléments qui nous serviront de points de repère. Il faut donc d`abord distinguer les passages narrés du dialogue, puis, à l`intérieur de la conversation, isoler plusieurs thèmes qui reviennent incessamment comme autant de leitmotive : problèmes moraux, problèmes esthétiques, rapports de la nature et des individus, rôle du génie dans la société. Enfin, si l`on suit avec attention de déroulement de la conversation, on peut noter que chacun des deux personnages prend tour à tour le dessus, imposant à l`autre ses vues, et imprimant à l`oeuvre la marque d`une courbe parfaite.

[...]


1 Couty, Daniel: Le neveu de Rameau. Analyse critique. Hatier, Paris, 1972, p.5

2 Chouillet, Jacques: La formation des idées esthétiques de Diderot. 1745-1763. Librairie Armand Colin, Paris, 1973, p.521

3 Chouillet, Anne-Marie: Introduction a la lecture du Neveu de Rameau dans « Autour du Neveu de Rameau de Diderot », Editions Champion, Paris, 1991, p.9

4 Ibid., p.9

5 Couty, p.14

6 Couty, p.17

7 Mourier, Morice: Préface et commentaire dans Le Neveu de Rameau de Diderot, Pocket, Paris, 1996, p.VII

8 Chouillet, Anne-Marie: Introduction à la lecture du Neveu de Rameau dans « Autour du Neveu de Rameau de Diderot », Editions Champion, Paris, 1991, p.11-13

9 Couty, Daniel: Le neveu de Rameau. Analyse critique. Hatier, Paris, 1972, p.26-28

10 Chouillet, A.-M., p.12

11 Couty, p.31

12 Couty, p.31

Fin de l'extrait de 28 pages

Résumé des informations

Titre
Analyse des Romans "Le Neveu de Rameau" von Diderot
Université
Dresden Technical University  (Institut für Romanistik)
Cours
Hauptseminar: „Diderot“
Note
1,0
Auteur
Année
2009
Pages
28
N° de catalogue
V147415
ISBN (ebook)
9783640569069
ISBN (Livre)
9783640569304
Taille d'un fichier
525 KB
Langue
français
Mots clés
Analyse, Romans, Neveu, Rameau, Diderot
Citation du texte
Ada Gorskih (Auteur), 2009, Analyse des Romans "Le Neveu de Rameau" von Diderot, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/147415

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