La caricature des savoirs dogmatiques, face à l'exaltation humaniste des sciences, dans l'œuvre de François Rabelais: Pantagruel & Gargantua


Mémoire d'Examen Intermédiaire, 1997

32 Pages, Note: 1,0


Extrait

TABLE DES MATIÈRES

0. Introduction
0.1 La pentalogie de Rabelais: une œuvre homogène et complexe en même temps
0.2 Les aspects principaux du travail présenté

1. Le roman gigantal et la religion
1.1 Prêtres, liturgie et rites
1.2 Caricature de la Bible

2. La jurisprudence dans l'œuvre de Rabelais

3. Esotérisme et philosophie dans les derniers livres de la pentalogie
3.1 Introduction
3.2 La relativité des sciences dans le Tiers Livre
3.3 Esotérisme et connaissance de soi-même
3.3.1 Cause première et causes secondes
3.3.2. La tradition hermétique et platonique dans l'œuvre de Rabelais
3.3.3 Apparence et réalité
3.4 Le voyage vers la Dive Bouteille

4. Conclusion

BIBLIOGRAPHIE

0. Introduction

0.1. La pentalogie de Rabelais: une œuvre homogène et complexe en même temps

Il existe de nombreux essais d'interpréter l'œuvre de Rabelais, de trouver une conception homogène, un fil conducteur à travers toute la pentalogie. Cependant, il faut considérer que cette œuvre est le résultat d'une période créatrice qui dura pas moins de vingt ans – c'est le derniers tiers de la vie de Rabelais (Rabelais mourut en 1553). Quoique son premier livre, le Pantagruel (qui fut écrit et publié avant le Gargantua), reflète déjà l'expérience étendue dans toutes sortes de domaines du monde contemporain, son attitude à l'égard de la religion, de l'Etat et de la famille changea à plusieurs reprises, tandis que les conditions extérieures, elles non plus, ne restaient pas stables. L'œuvre de Rabelais tient compte de tous ces changements.1

Pourtant, il est possible de reconnaître un "fil" dans cette pentalogie: les héros de tous les cinq livres sont des géants, d'abord Gargantua, et à partir du Deuxième Livre (qui fut en réalité le Premier), son fils Pantagruel. La vie de tous les deux est d'abord débordante, dépassant toutes les dimensions humaines, et d'une vitalité qui ne méprise aucune des manifestations et besoins du corps humain. Après leur éducation humaniste, tous les deux se développent de plus en plus en des êtres qui ont transformé leurs forces vitales surhumaines en des vertus surhumaines et des forces spirituelles et intellectuelles, tandis que leur vie antérieure continue à se projeter dans leurs amis respectifs: Frère Jean et Panurge.

Ce qui peut s'observer aussi dans tous les cinq livres, c'est le "non-dogmatisme" et le manque de respect avec lequel Rabelais traite les choses triviales aussi bien que les choses les plus sacrées, dévoilant ainsi les défauts et les marottes de ses contemporains.

Il existe déjà beaucoup d'interprétations bien différentes qui s'occupent des aspects divers de l'œuvre concernant, par exemple, le domaine de la religion, de l'histoire contemporaine, des sciences ou bien de l'ésotérisme. Ajoutons-en donc une autre, et demandons à Rabelais ce qu'il aurait dit en pareil cas:

Pourtant, interpretez tous mes faicts et mes dicts en la perfectissime partie; ayez en reverence le cerveau caséiforme qui vous paist de ces belles billes vezées,...2

0.2. Les aspects principaux du travail présenté

Dans ce travail, on essaiera d'éclaircir l'attitude de Rabelais envers les sciences traditionnelles et leurs représentants. Le travail est divisé en trois parties principales qui traitent trois domaines importants de l'époque de Rabelais.

Nous savons que cet auteur aimait se moquer des déportements et de l'hypocrisie du clergé. La première partie montre des particularités comiques, indiquées par Rabelais, qui se réfèrent à la liturgie et aux rites religieux. De même, certains passages sont énumérés qui parodient la Bible.

La seconde partie s'occupe d'un groupe professionnel qui possédait (et possède encore) une influence et un pouvoir énormes, à savoir les juristes. Ils sont à plusieurs reprises attaqués et ridiculisés par Rabelais, pour des raisons graves et évidentes.

Enfin, le domaine de l'ésotérisme, lié à la philosophie néoplatonique, est traité pour montrer que l'œuvre de Rabelais est si complexe qu'elle peut être interprétée à différents niveaux. En même temps, il devient clair qu'aucune des sciences n'est capable de résoudre des problèmes essentiels.

Le volume de ce travail ne permet pas d'y ajouter ni le domaine de la médecine (dans laquelle Rabelais était très versé), ni les nombres mystiques, liés à la Cabale, qui jouent un rôle important dans cette œuvre.

1. Le roman gigantal et la religion

Il est évident que le clergé est une cible préférée des railleries de Rabelais. Nous savons aujourd'hui que la critique des moines et des prêtres était bien fondée à cause de leurs déportements qui n'avaient rien à voir avec ce qu'ils prêchaient aux autres. De même, "religion" et "croyance" sont des termes que Rabelais sépare strictement de cette institution établie appelée "Eglise".

Bien que l'on trouve de nombreux passages qui parodient même la Bible, Dieu joue un rôle important pour les géants, et ils s'adressent à lui avec une confiance enfantine. On observe la même relation intime entre les géants et Dieu le Père, qu'entre les géants et leurs pères physiques. Dieu est tout-puissant, et la critique du clergé se base surtout sur le fait que Rabelais n'accepte pas d'intermédiaire quelconque – soit des hommes, soit des anges, des saints, des rites sacrés ou bien les planètes – entre l'homme et son Créateur. Et si l'on donne une bonne éducation à tous les hommes, qui les rend capables de lire la Bible eux-mêmes, les prêtres seront de toute façon superflus.

1.1. Prêtres, liturgie et rites

Quant aux prêtres, un point essentiel de la critique se dirige contre leur manière de réciter l'Evangile. Lors de la guerre contre une armée de géants et leur capitaine Loup Garou, Pantagruel fait le vœu suivant:

Donc, s'il te plaist à ceste heure m'estre en aide, comme en toy seul est ma totalle confiance et espoir, je te fais vœu que, par toutes contrées tant de ce pays de Utopie que d'ailleurs, où j'auray puissance et autorité, je feray prescher ton sainct evangile purement, simplement, et entierement; si que les abus d'un tas de papelars et faulx prophetes, qui ont par constitutions humaines et inventions dépravées envenimé tout le monde, seront d'entour moy exterminés.3

A quoi une voix du ciel répond: "Hoc fac et vinces" (Fais ainsi, et tu auras victoire), ce qui signifie que Dieu se déclare d'accord – et en fait, Pantagruel remporte la victoire. Mais c'est ainsi que Rabelais décrit indirectement les coutumes religieuses et les abus, commis par les prêtres. D'autre part, les premières paroles de ce vœu montrent très bien la confiance totale que Pantagruel a en Dieu.

La relation directe entre l'homme et Dieu fut un point particulièrement souligné par Martin Luther qui, lui aussi, refusait les intermédiaires imparfaits. En outre, Luther ne voulait pas qu'on imposât la foi ou les sacrements à autrui. Dans son traité sur le pouvoir temporel (1523) il écrivit:

"Vouloir imposer à l'homme une croyance? Quelle folie! De croire ou de ne pas croire, chacun n'est responsable que devant sa conscience. Et comme sa décision ne peut faire de tort à l'Etat, celui-ci ne doit pas s'en soucier: qu'il se mêle, simplement, de ce qui le regarde." Mais ne faut-il pas empêcher le peuple de tomber dans l'hérésie? – Non, répond hardiment Luther. C'est à la Parole de Dieu, non au Glaive, de tenter les conversions. Si la Parole n'obtient rien, la force obtiendra moins encore.4

Certainement, Rabelais connaissait Luther et puisait dans les œuvres de celui-ci. L'attitude d'Erasme était semblable, et plusieurs idées d'Erasme concernant la religion et les prêtres furent adoptées et élaborées par Rabelais.5

Les prêtres et les moines chez Rabelais sont des personnages ridicules qui ne vivent pas ce qu'ils prêchent, et qui se rendent même plus ridicules par leur manière de "psalmodier":

Là oyoit vingt et six ou trente messes: cependant venoit son diseur d'heures en place, empaletocqué come une duppe, et tres bien antidoté son haleine à force sirop vignolat. Avec iceluy marmonoit toutes ses kyrielles, et tant curieusement les espluschoit qu'il n'en tomboit un seul grain en terre.6

En revanche, Frère Jean, "l'anti-moine", se rend sympathique, entre autres, parce qu'il est un

... beau despescheur d'heures, beau desbrideur de messes, beau descroteur de vigiles; pour tout dire sommairement, un vray moine si onques en fut depuis que le monde moinant moina de moinerie...8

Ainsi, du moins, il abrège la "torture" aux croyants.

Rabelais attaque aussi l'usage libéral d'alcool pendant la messe. Ainsi, la "prouesse" de Frère Jean dans la défense du clos de l'abbaye repose surtout sur sa peur de perdre la source du "service de vin".

"Jamais homme noble ne hayst le bon vin: c'est un apophthegme monachal. Mais ces responds que chantez icy ne sont, par Dieu, poinct de saison.

Pourquoy sont nos heures en temps de moissons et vendanges courtes, en l'advent et tout hyver longues? Feu, de bonne memoire, frere Macé Pelosse, vray zelateur (ou je me donne au diable) de nostre religion, me dist, il m'en soubvient, que la raison estoit affin qu'en ceste saison nous facions bien serrer et faire le vin, et qu'en hyver nous le humions."9

Plus tard, on trouve une déclaration assez claire concernant les moines, leurs rites et la liturgie:

Semblablement, un moine (j'entends de ces ocieux moines) ne laboure, comme le paysant; ne garde le pays, comme l'homme de guerre, ne guérit les malades, comme le médecin; ne presche ny endoctrine le monde, comme le bon docteur evangelique et pedagogue; ne porte les commodités et choses necessaires à la republicque, comme le marchant. C'est la cause pourquoy de tous sont hués et abhorris. – Voire mais, dist Grandgousier [le père de Gargantua], ilz prient Dieu pour nous. – Rien moins, respondit Gargantua. Vray est qu'ilz molestent tout leur voisinage à force de trinqueballer leurs cloches. – Voire, dist le moine [Frère Jean], une messe, unes matines, unes vespres bien sonnées, sont à demy dictes. – Ilz marmonnent grand renfort de legendes et pseaulmes nullement par eux entenduz. Ilz comptent force patenostres, entrelardées de longs Ave Maria,

sans y penser ny entendre. Et ce j'appelle mocque Dieu, non oraison. Mais ainsi leur aide Dieu, s'ilz prient pour nous, et non par peur de perdre leurs miches et souppes grasses. Tous vrais christians, de tous estats, en tous lieux, en tous temps, prient Dieu, et l'esperit prie et interpelle pour iceux, et Dieu les prent en grace.10

Les moines ordinaires "ocieux" (oisifs) ne sont donc que des parasites de la société – inutiles et même importuns – qui, eux-mêmes, ne sont pas convaincus de ce qu'ils font ou prêchent et qui se moquent également de leurs sujets (les croyants) que de leur "chef suprême" (Dieu).

De même, à l'avis de Rabelais, les rites religieux sont dépourvus de sens, comme la vénération des saints (qui, eux aussi, ne sont que des intermédiaires), les pèlerinages, le jeûne, l'eau bénite et, surtout, les pardons et les décrétales du pape. L'homme a seulement besoin d'une foi simple et profonde (comme celle des géants) et d'une vie conforme aux Ecritures, qu'il doit apprendre à lire lui-même, sans traduction et sans exégèse par les prêtres.

Lors de la "discussion" de Panurge avec le grand clerc anglais Thaumaste11, aussi bien que, plus tard, chez le devin Nazdecabre12, Rabelais trouve l'occasion de se moquer du langage par signes, alors très en vogue surtout parmi les moines et les juristes:

La règle du silence, plus ou moins stricte selon les ordres monastiques, avait donné naissance, pour les communications indispensables, à un complexe langage de signes spontané puis codifié, parfois recueilli dans de véritables traités. Rabelais se moque plaisamment de ces usages qu'il a pratiqués dans le conte de Sœur Fessue (III,19). On pourrait relire le silencieux dialogue de Panurge et Thaumaste dans cette perspective, en tenant compte aussi du comput numéral digital très en usage dont l'ouvrage d'Agrippa (Her Trippa) offre un bon exemple. [...]

Système de numérotation digitale, d'après le De Occulta Philosophia de H. C. Agrippa, Lib. II, Cap. XVI. Les chiffres très "élégants" proviennent, selon Agrippa, de deux très anciens livres de Magie et d'Astrologie, mais ils sont présentés droits 1 Г, 2 ├ , etc. [...]13

1.2. Caricature de la Bible

Malgré la confiance évidente des géants en les vérités de la Bible, on trouve aussi mainte caricature de citations bibliques:

- Les généalogies de Gargantua (I,1) et de Pantagruel (II,1), écrites dans le style typique de la Bible.
- La naissance étrange de Gargantua (I,6) et celle de Pantagruel (II,2): on y voyait une évocation parallèle à l'Immaculée Conception. Cependant, Rabelais atténue la raillerie: Car je vous dis que à Dieu rien n'est impossible. Et, s'il vouloit, les femmes auroient dorenavant ainsi leurs enfants par l'oreille.14 En même temps, ces scènes-là rappellent la création d'Eve à partir d'une côte d'Adam.
- Plus tard, nous trouvons une autre "Genèse" étrange: c'est Pantagruel qui, en pétant, crée les pygmées15, ce qui est un rappel évident de l'haleine de Dieu qui donna la vie à Adam.
- Le Déluge de l'Ancien Testament est caricaturé dans le pissefort diluvien de Gargantua (I,17) qu'il fait pleuvoir sur le peuple de Paris. Il est significatif que cet événement se déroule en un lieu sacré, les tours de l'église Notre-Dame, et que ces "salutations" soient comparées au "proficiat" (don de bienvenue accordé aux évêques à leur arrivée dans leur diocèse). De même, le mythe de l'arche de Noë est modifié.16
- Les guérisons miraculeuses de Jésus-Christ sont parodiées à plusieurs reprises, par exemple, quand Panurge coud la tête d'Epistémon au corps de celui-ci et le ressuscite ainsi: Adonc, nettoya tres bien de beau vin blanc le col, et puis la teste, [...] après les oignit de je ne sçay quel oignement: et les afusta justement vene contre vene, nerf contre nerf, spondyle contre spondyle, afin qu'il ne fust torty colly, car telles gens il haissoit de mort. [...]17 Bien sûr qu'il ne faut pas seulement prendre cela au pied de la lettre: les "torticolis", ce sont les hypocrites qui feignent la dévotion en baissant la tête.
- Très contestée est aussi la signification de l'Enigme en prophetie (I,58), qui rappelle beaucoup l'Apocalypse de saint Jean, et qui désigne apparemment la situation des réformateurs – c'est du moins l'interprétation de Gargantua lui-même18, tandis que Frère Jean ne voit dans cette énigme qu'une description du jeu de paume.

Leo Spitzer hat in einem posthum veröffentlichten Beitrag die Ansicht vertreten, daß Rabelais' künstlerische Absicht darin bestehe, seinen Leser durch seinen Roman in den Genuß des "Schauspiels einer Ideenschlacht" zu bringen, was sich programmatisch bereits in dem Prolog zum Ersten Buch ankündige. Ihm gehe es nicht so sehr darum, fertige Lösungen anzubieten, sondern vor allem darum, in unbändiger Freude am dialektischen Spiel einen Gedanken gegen den anderen zu stellen, eine Meinung (im Prolog

[...]


1 cf. F.-R. HAUSMANN, François Rabelais, Stuttgart 1979, p. 27/28.

2 L. MOLAND (Ed.), François Rabelais. Tout ce qui existe de ses œuvres: Gargantua – Pantagruel. Pantagrueline Prognostication – Almanachs – Schiomacie – Lettres – Opuscules – Pièces attribuées à Rabelais, Paris 1884, Prologue, p. 5.

3 éd. cit., II,29, p. 180.

4 L. FEBVRE, Le problème de l'incroyance au XVIe siècle. La religion de Rabelais, Paris 1962, p. 322.

5 cf. op. cit., p. 335-337.

6 L. MOLAND (Ed.): éd. cit., I,21, p. 41.

Mais Gargantua ne pouvoit dormir, en quelque façon qu'il se mist. Dont luy dist le moine: "Je ne dors jamais bien à mon aise sinon quand je suis au sermon, ou quand je prie Dieu. Je vous supplie, commençons, vous et moy, les sept pseaulmes pour voir si tantost ne serez endormy." L'invention pleut tres bien à Gargantua, et, commençans le premier pseaulme, sus le poinct de beati quorum s'endormirent et l'un et l'aultre.7

7 éd. cit., I,41, p. 79.

8 éd. cit., I,27, p. 55.

9 Ibid.

10 éd. cit., I,40, p. 78.

11 "Admirable" (grec); cf. II,19.

12 "Nez de chèvre"; cf. III,20.

13 Cl. GAIGNEBET, A plus hault sens: l'ésotérisme spirituel et charnel de Rabelais, tome II, Paris 1986, p. 27.

14 L. MOLAND (Ed.): éd. cit., I,6, p. 16.

15 cf. éd. cit., II,27, p. 183.

16 cf. éd. cit., II,1, p. 116.

17 éd. cit., II,30, p. 191.

18 cf. éd. cit., I,58, p. 108.

Fin de l'extrait de 32 pages

Résumé des informations

Titre
La caricature des savoirs dogmatiques, face à l'exaltation humaniste des sciences, dans l'œuvre de François Rabelais: Pantagruel & Gargantua
Université
Ruhr-University of Bochum  (Romanisches Seminar)
Cours
PS "Rabelais, Pantagruel & Gargantua"
Note
1,0
Auteur
Année
1997
Pages
32
N° de catalogue
V162778
ISBN (ebook)
9783640785735
ISBN (Livre)
9783640785636
Taille d'un fichier
569 KB
Langue
Français
Annotations
Notation: "Travail excellent. Non seulement vous avez lu avec soin Rabelais et les ouvrages de référence se rapportant à la question, mais vous n'hésitez pas à introduire des considérations personnelles qui élargissent heureusement la compréhension de l'œuvre. La pensée et l'expression - beaucoup plus mûres et accomplies que ce qu'on serait en droit d'attendre d'un travail de 'Proseminar' - le choix des éléments textuels destinés à étayer l'argumentation, tout cela prouve une aisance intellectuelle supérieure au commun. Il n'en reste pas moins que la question centrale n'est pas résolue."
Mots clés
œuvre, François, Rabelais, Pantagruel, Gargantua
Citation du texte
Ursula Wojciechowski (Auteur), 1997, La caricature des savoirs dogmatiques, face à l'exaltation humaniste des sciences, dans l'œuvre de François Rabelais: Pantagruel & Gargantua, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/162778

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