Hérodote - Histoires

Histoire Ancienne


Exposé Écrit pour un Séminaire / Cours, 2005

27 Pages, Note: 1,5


Extrait


TABLE DES MATIERES

L’AUTEUR
HERODOTE

DISCOURS FICTIF SUR LA FORME POLITIQUE IDEALE
Présentation des trois orateurs
Otanès
Mégabyze
Darius, encore Darius Ier

LES TROIS REGIMES POLITIQUES
Elaboration des arguments pour et contre les trois régimes politiques, démocratie, monarchie et oligarchie

LA DEMOCRATIE
Qu’est-ce la démocratie?
Arguments en faveur de la démocratie
Arguments contre la démocratie
Histoire de la démocratie
La genèse de la démocratie
Les principaux personnages de la démocratie et leurs reformes furent
1. DRACON
2. SOLON (* environ 640 av. J.-Chr. † après 558 av. J.-Chr.)
3. LES PISISTRATIDES
4. CLISTHENE
5. PERICLES (* ~ 500 av. J.-Chr. † 429 av. J.-Chr.)
La fin de la démocratie athénienne

L’OLIGARCHIE
Définition de l’oligarchie.
Arguments en faveur de l’oligarchie
Arguments contre l’Oligarchie
L’histoire de l’oligarchie en Grèce antique

LA MONARCHIE
Qu’entend-on par Monarchie ?
Arguments en faveur de la monarchie
Arguments contre la monarchie
L’histoire de la monarchie en Grèce antique

CONCLUSION

SOURCES

L’AUTEUR :

HERODOTE

Hérodote, en grec ancien Hêródotos, est né vers 485 av. J.-Chr. à Halicarnasse, l’actuel Bodrum en Turquie. Il est mort vers 425 av. J.-Chr. à Thourioi en Italie du Sud ou bien à Athènes.

Hérodote était le fils d’un aristocrate nommé Lyxès. Quand celui-ci s’opposa au tyran Lygdamis, la famille dut partir en exil sur l’île de Samos. Après il a entrepris de longs voyages à travers le monde grec, en Asie Mineure, en Mésopotamie, en Egypte, en Libye et dans les régions au nord de la Mer Noire.

Son « Enquête », du grec « Historiai »[1], l’unique œuvre d’Hérodote que nous connaissons, traite des expériences et des observations faites durant ses voyages.

Hérodote a nommé les neuf livres de « l’Enquête » d’après les neuf muses de la Grèce antique :

- livre I : CLIO, la muse de l’histoire
- livre II : EUTERPE, la muse de la musique
- livre III : THALIE, la muse de la comédie et de l’idylle
- livre IV : MELPOMENE, la muse de la tragédie
- livre V : TERPSICHORE, la muse de la danse et du chant choral
- livre VI : ERATO, la muse de l’élégie[2]
- livre VII : POLYMNIE, la muse de la poésie lyrique
- le livre VIII : URANIE, la muse de l’astronomie, de l’astrologie et de la géométrie
- livre IX : CALLIOPE, la muse de l’éloquence et de la poésie épique

Les livres I à IV portent sur le développement de l’Empire perse :

- livre I : victoire de Cyrus II sur le lydien Crésus, conquête de l’Assyrie et du peuple des Messagètes
- livre II : conquête de l’Egypte par Cambyze II, fils de Cyrus
- livre III et IV: règne de Darius

les livres V à VI concernent la première guerre médique :

- livre V : révolte d’Ionie, comparaison entre l’histoire de Sparte et d’Athènes
- livre VI : réactions des Grecs, victoire de Marathon

Les livres VII à IX portent sur la deuxième guerre médique.

Pour Hérodote, son œuvre est un récit, une enquête de tout ce qu’il voit. Un récit, parce qu’il y raconte les grands exploits des Grecs et des Barbares, une enquête, parce qu’il cherche à trouver des explications pour tout ce qui se passe.

Comme il l’écrit lui-même dans le premier paragraphe, Hérodote cherche surtout à trouver une raison pour les guerres médiques entre les Grecs et les Perses, qui ont dévasté beaucoup de régions en Grèce : « Hérodote d’Halicarnasse présente ici les résultats de son enquête afin que le temps n’abolisse pas le souvenir des actions des hommes et que les grands exploits accomplis, soit par les Grecs, soit par les Barbares, ne tombent pas dans l’oubli ; il donne aussi la raison du conflit qui met ces deux peuples aux prises »[3]

Le texte d’Hérodote est écrit dans une forme narrative, comparable aux Mythes et Légendes. Il se base sur des traditions du Moyen-Orient et le texte rappelle la Tora juive, écrite un siècle auparavant, et par-là également notre Bible.

Hérodote est souvent considéré comme ‘Père de l’Historiographie’, notamment par Cicéron, même s’il n’était pas le premier à écrire l’histoire.

Hérodote est toujours à la recherche de la vérité. Il veut la trouver à travers différentes thèses, qu’il juxtapose et qu’il met en question pour s’assurer de leur constance. Pour lui, l’histoire est surtout une recherche de témoins fiables. L’histoire se base surtout sur des témoignages et des traditions oraux. Voilà pourquoi, Hérodote introduit beaucoup de dialogues dans ses textes, car ils lui permettent un accès légitime à la vérité.

Hérodote a essayé de refléter son temps à travers les dialogues. Il vivait du temps du grand homme d’Etat athénien Périclès, des grands orateurs et des sophistes. Hérodote se caractérise par une grande rationalité, parce qu’il cherche toujours à trouver des explications.

Comme je l’ai déjà dit auparavant, l’historiographie dans l’antiquité se base surtout sur des témoignages oraux. Thucydide, le successeur d’Hérodote, parle à ce sujet dans son histoire de la « Guerre du Péloponnèse », d’une observation avec les yeux et les oreilles. Tout ce qui est source écrite est également considérée comme témoignage oral. L’authenticité des faits se base seulement sur la capacité de l’historien de trouver la vérité.

Chaque historien de l’antiquité a structuré ses récits à l’aide d’un leitmotiv spécifique. Pour Hérodote, ce leitmotiv consiste en la victoire de la Polis, qui est le symbole de la liberté, sur la tyrannie, qui symbolise la servitude.

Le fil rouge de « l’Enquête » est la différence entre l’Asie et l’Europe. Hérodote cherche entre autres à montrer les différences entre les Perses, qu’il considère comme les meilleurs des Barbares, et les Grecs. Hérodote a écrit « l’Enquête » entre 445 et 430 av. J.-Chr., donc une génération après les guerres médiques (499-478 av. J.-Chr.). Ce fait laisse supposer que les Grecs regardaient les Perses comme inférieurs.

Le discours entre Otanès, Mégabyze et Darius, dans lequel les trois personnages argumentent en faveur d’un des trois régimes politiques que sont la démocratie, l’oligarchie et la monarchie, se solde par la victoire de la monarchie, qui l’emporte finalement sur la démocratie. Or, la démocratie est pour les Grecs, et surtout pour les Athéniens, la meilleure forme politique, tandis qu’ils rejettent la monarchie et l’oligarchie comme régimes politiques injustes et défavorables au peuple.

En montrant que chez les Perses, la monarchie est considérée comme supérieure à la démocratie, Hérodote veut démontrer que les Perses sont inférieurs aux Grecs, car ils ne vivent pas dans la liberté, mais dans l’absolutisme.

DISCOURS FICTIF SUR LA FORME POLITIQUE IDEALE

Présentation des trois orateurs

Otanès

Les sources concernant Otanès sont rares. Les dates de sa vie ne sont pas connues, mais on suppose que l’Otanès évoqué ici par Hérodote, fut Otanès Ier, membre de la famille des Achéménides, tout comme Darius.

Otanès Ier était le père d’Otanès II et le grand-père d’Amestris, qui était non seulement la femme de Xerxès Ier (486-465 av. J.-Chr.), roi des Perses, mais aussi la mère d’Artaxerxès Ier (465-424 av. J.-Chr.). Xerxès Ier était le fils de Darius Ier.

Otanès avait aussi une fille nommée Phaedyme, qui était l’épouse de Smerdis, le vrai frère de Cambyse II. Avec l’aide de sa fille, Otanès sut reconnaître la tromperie du mage étant monté injustement sur le trône.

Une fois que Darius eut acquis le trône, il prit Phaedyme pour épouse.

Mégabyze

De Mégabyze on sait seulement qu’il était un général de Darius et qu’il était un des sept conjurés qui ont éliminé le faux Smerdis.

Dans ses « Histoires II. CL III » Hérodote parle de Zopyre, fils de Mégabyze, qui aurait participé à la campagne perse contre les révoltes à Babylone.

Darius, encore Darius Ier

Darius était roi de Perse de 522 à 486 av. J.-Chr.. Comme Cyrus le Grand et Cambyse II, son prédécesseur, Darius appartenait à la famille des Achéménides.

Cette famille est la première dynastie royale de Perse. Elle s’éteignit en 330 av. J.-Chr. avec les conquêtes d’Alexandre le Grand.

Darius, s’empara du trône en renversant un usurpateur mage. En effet, après la mort de Cambyse II en 522 av. J.-Chr., cet usurpateur se faisait passer pour le frère de Cambyse et gouvernait ainsi la Perse durant 7 mois, à en croire Hérodote.

Afin de pouvoir renverser ce faux frère, Darius se fit aider par d’autres officiers, entre eux Otanès et Mégabyze. C’est avec eux que Darius discuta sur la forme idéale d’un gouvernement et c’est ce discours qu’Hérodote nous fait connaître dans son récit.

Nous savons encore que Darius débarqua vers 514 av. J.-Chr. en Europe pour y affronter le peuple des Scythes. Voilà pourquoi il appela à son renfort les Cités grecques d’Ionie. Celles-ci étaient gouvernées par des tyrans sous contrôle perse.

Or, ces Cités se soulevèrent en 499 av. J.-Chr., mais Darius écrasa vite leur révolte (en 494). Parce que les Cités grecques continentales avaient aidé celles d’Ionie, Darius envoya une armée en Grèce pour les combattre. Son armée fut battue à Marathon en 490 av. J.-Chr. Darius mourut quatre ans plus tard.

LES TROIS REGIMES POLITIQUES

Elaboration des arguments pour et contre les trois régimes politiques, démocratie, monarchie et oligarchie

Au livre III des « Histoires », Hérodote donne la parole à Otanès, Mégabyze et à Darius. Ces trois personnages discutent sur le meilleur régime politique à adopter, après avoir provoqué la chute du mage usurpateur, qui était injustement monté sur le trône de la Perse, suite à la mort accidentelle du roi Cambyse II.

LA DEMOCRATIE

Qu’est-ce la démocratie?

Dans le lexique ‘Harenberg Kursbuch Bildung’ de 2003 nous pouvons lire la définition suivante sur la démocratie: Demokratie : [griech. demos >Volk<, kratein >herrschen<, Herrschaft des Volkes]: die Staatsgewalt geht vom Volk aus (Volkssouveränität) und wird von ihm direkt (Wahl der Regierung) oder indirekt (Wahl von Abgeordneten, die wiederum bei der Regierungswahl das Volk vertreten) ausgeübt; Vorraussetzung der Demokratie ist die Einsicht in Freiheit und Gleichheit der Bürger“.

Le ‘Petit Larousse’ de 1995 nous présente la définition suivante de la démocratie : « régime politique dans lequel le peuple exerce sa souveraineté lui-même, sans l’intermédiaire d’un organe représentatif (démocratie directe) ou par représentants interposés (démocratie représentative) ».

Aristote citait la démocratie comme une troisième possibilité de régime politique, à côté de la monarchie (un seul est au pouvoir) et de l’oligarchie (un groupe de plusieurs personnes exerce le pouvoir).

Le président américain, Abraham Lincoln, lui il voyait la démocratie comme « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. »

Arguments en faveur de la démocratie :

Le premier qui prend la parole est Otanès. Selon lui, la démocratie est synonyme de l’isonomie[4]. Les magistrats sont élus par le sort, ils doivent justifier leurs actions devant le peuple. A son avis, ce qui mérite d’être considéré comme l’intérêt public, est ce que la majorité estime être la meilleure décision. « J’opine donc pour que nous renoncions à la monarchie et que nous élevions le peuple au pouvoir ; car c’est dans le nombre que tout réside »[5]

Dans « les suppléantes » d’Euripide, Thésée, le roi d’Athènes, dit : « Athènes est libre. Le peuple y règne »[6]. Le pouvoir politique n’est donc pas confié à un seul homme, comme c’est le cas dans la tyrannie. Dans une démocratie, tout le monde a des droits égaux et tout le monde est libre. Font cependant exception, les esclaves qui ne sont pas libres, les femmes et les métèques[7], qui eux n’ont pas de droits. « Nul privilège à la fortune, car le pauvre et le riche ont des droits égaux dans le pays »[8]. La liberté politique vaut donc pour tous, sauf pour les esclaves, femmes et métèques.

Thésée insiste également sur l’isonomie, l’isotès[9] et l’iségorie[10]. « Un tyran hait cela : les meilleurs citoyens, ceux dont il croit qu’ils pensent, il les abat, craignant sans cesse pour son trône »[11]. La tyrannie est donc condamnable, car elle exclut l’égalité et l’isonomie. Dans la démocratie par contre, tous sont égaux devant la loi écrite et le faible a les mêmes droits que le fort. Le citoyen est libre, car il dispose de la liberté de pensée et de parole.

Selon Périclès, dans son discours en faveur de la démocratie, un citoyen n’est pas jugé selon sa fortune, mais selon ses compétences politiques. « … tandis que pour les titres, si l’on se distingue en quelque domaine, ce n’est pas l’appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs »[12]. En démocratie, ceux qui sont les plus capables accèdent au pouvoir, qui n’est pas seulement attribué aux plus riches. La démocratie est supérieure à tous les autres régimes politiques, car : « Notre cité, dans son ensemble, est pour la Grèce une vivante leçon »[13].

Arguments contre la démocratie :

Dans leurs discours, et Mégabyze, et Darius, s’opposent à la démocratie. Pour Mégabyze : « Il n’y a rien de plus insolant qu’une multitude bonne à rien »[14]. Le peuple n’est pas capable de tenir le pouvoir en mains, car il n’a pas d’expérience.

« Q ue ceux qui veulent du mal aux Perses, que ceux-là donc osent de la démocratie ? »[15] Mégabyze fait ici allusion aux Grecs et surtout aux Athéniens, les ennemis des Perses dans les guerres médiques. Pour lui, les Grecs sont des ignorants. Les Perses ne doivent pas se soumettre à la démocratie, comme l’ont fait les Athéniens qui sont pour Mégabyze, les représentants de la démocratie. Comme les Athéniens sont les pires ennemis des Perses, la démocratie athénienne doit elle aussi être répudiée par les Perses. Ceci est une conséquence incontournable.

En effet, dans sa ‘République des Athéniens’, Xénophon lui aussi critique la démocratie des Athéniens. « Quant au gouvernement des Athéniens, je ne les loue pas d’avoir choisi ce système politique, parce qu’ils ont voulu, en le choisissant, favoriser les méchants au détriment des bons. »[16] Il faut noter que Xénophon entend par ‘méchants’ la plèbe et par ‘bons’ l’aristocratie.

Xénophon désapprouve ici le choix des Athéniens pour la démocratie, car leur seul motif aurait été de favoriser le peuple à l’aristocratie. L’auteur de la ‘République des Athéniens’ s’exprime donc clairement contre ce motif. Or, ceci est contradictoire à ce qu’il écrit quelques lignes plus loin : « En premier lieu, je dirai qu’il est juste qu’à Athènes, les pauvres et le peuple jouissent de plus d’avantages que les nobles et les riches. »[17] Xénophon regarde ici la situation d’Athènes, dont le pouvoir et la force se basent sur le peuple et non pas sur les nobles. En accordant donc plus de pouvoir au peuple, la ville s’assure de sa loyauté.

Platon lui aussi s’exprime sévèrement contre la démocratie. « La démocratie commence donc d’exister, je crois, quand les pauvres, victorieux, mettent à mort certains du parti opposé, en bannissent d’autres, partagent à égalité, avec ce qui reste, gouvernement et emplois publics, et que généralement, c’est le sort qui y détermine les emplois. »[18]

Pour lui, la démocratie n’est rien d’autre qu’un complot des pauvres qui s’emparent du pouvoir violemment, en écartant les autres. Aujourd’hui ceci est comparable à l’idéologie du communisme, selon laquelle il doit y avoir une révolution des pauvres contre les riches qui les dominent.

Histoire de la démocratie.

Ses débuts.

Si on veut élaborer les origines de la démocratie, il est inévitable de passer par Athènes, et cela pour trois raisons :

1. Athènes est entre le VIe et Ve siècle av. J.-Chr. la plus importante des cités grecques. La cité domine le monde grec sur le plan politique aussi bien que sur le plan culturel
2. C’est sur Athènes qu’on possède le nombre le plus important d’ouvrages décrivant les systèmes politiques : p. ex. du grand historien Thucydide, de Xénophon dans « République des Athéniens » et d’Aristote avec « la constitution d’Athènes »
3. c’est à Athènes que le régime démocratique fut le plus élaboré

La genèse de la démocratie.

Il faut dire que la démocratie athénienne est née surtout grâce à un engagement politique de certains archontes.

En effet, à partir du VIIe siècle av. J.-Chr., de plus en plus de paysans durent s’endetter et, en raison de leur surendettement, furent contraints à l’esclavage. Les quelques grandes familles aristocrates se disputèrent le pouvoir politique.

Selon Aristote (Constitution d’Athènes, ch. III, la constitution prim) on élisait les magistrats parmi les membres des familles nobles et riches. Les plus importantes et les plus anciennes magistratures étaient celles du roi, en second lieu fut ajouté la charge polémarque, et en dernier lieu fut institué l’archontat.

Le roi veillait à la célébration des rites religieux et il exerça également la fonction de chef de guerre. Le poste de polémarque fut créé à cause de l’incapacité de certains rois de mener une guerre. La création de l’archontat remonta, selon Aristote, au XVe siècle av. J.-Chr. Il y avait également 6 thesmothètes, qui avaient d’abord une fonction de graveur de lois. Ils veillaient également sur le respect des lois, une fonction antérieure à l’époque de Dracon. Par après, au IIIe siècle av. J.Chr. , les 6 thesmothètes devaient préparer les procès judiciaires. C’étaient donc surtout des personnes de référence en matière de lois.

[...]


[1] Lit. Recherche, exploitation, du grec « histes » : celui qui sait, qui connaît

[2] Poésie passionnée

[3] Hérodote, Histoires. I. 1.

[4] Egalité des droits civils et politiques

[5] Hérodote. Histoires. Livre III. 80

[6] Euripide. Les Suppléantes. 405

[7] métèques = étrangers

[8] Euripide. Suppléantes. 407-408

[9] conditions égales pour tous

[10] liberté de pensée

[11] Euripide. Suppléantes. 444-446

[12] Thucydide. Guerre du Péloponnèse. Livre III. XXXVII.1

[13] Thucydide. Guerre du Péloponnèse. Livre III. XLI. 1

[14] Hérodote. Histoires. 81

[15] Hérodote. Histoires. 81

[16] Xénophon. La République des Athéniens. I. 1.

[17] Xénophon. La République des Athéniens. I. 2.

[18] Platon. République. 8. 557a.

Fin de l'extrait de 27 pages

Résumé des informations

Titre
Hérodote - Histoires
Sous-titre
Histoire Ancienne
Université
University of Luxembourg
Note
1,5
Auteur
Année
2005
Pages
27
N° de catalogue
V92303
ISBN (ebook)
9783638061100
ISBN (Livre)
9783638950602
Taille d'un fichier
518 KB
Langue
français
Mots clés
Hérodote, Histoires
Citation du texte
Isabelle Schleich (Auteur), 2005, Hérodote - Histoires, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/92303

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