Les changements dans la societé


Seminararbeit, 1999

6 Seiten, Note: 2,3


Leseprobe


Französische Landeskunde: Les jeunes et l’emploi

1. Les changements dans la société françaisese

La société française a changé également comme la société allemande pendant les dernières décennies. Il suffit de se faire apparaître les grandes changements dans les secteurs de loisir, des médias, de niveau de vie, de la famille, et de l’éducation.

Plus de temps libre

Pareille comme en Allemagne, le temps de travaille aujourd’hui ne compte plus que pour 12% du temps éveillé d’une vie, comparé en 1900 les Français consacraient 42% du temps éveillé de leur vie au travail. Pendant ce temps- là un ouvrier travaillait plus ou moins 16 heures par jour. La durée du travail a poursuivi sa diminution, atteignant 40 heures par semaine en Allemagne et 35 heures par semaine en France.

La surinformation

Le niveau d’information a crû pendant les dernières années assez fort. Les médias sont omniprésents non seulement dans la vie des Français mais encore aussi des Allemands. Cette surinformation s’est accompagné d’une forte baisse de la crédibilité des médias. Elle participe aussi à une confusion croissante et à l’entretien d’un climat social pessimiste.

La «Patchwork famille»

Le nombre de mariages a baissé également fort, pendant que le nombre de divorces a monté, de sorte qu’un couple qui se marie aujourd’hui a une chance sur trois de divorcer au cours de sa vie conjugale. On constate ainsi un fort accroissement de la proportion de personnes vivant seules: célibataires, divorcées ou veuves.

Il y a aussi de plus en plus de familles monoparentales ou des communautés de vie non- conjugal On constate aussi que les enfants restent plus longtemps au foyer parental. En France comme en Allemagne environ la moitié des entre 20 et 24 ans sont encore dans cette situation.

Französische Landeskunde: Les jeunes et l’emploi 3

Un population plus vieille

La part des moins de 20 ans dans la population diminue régulièrement. Elle n’est plus que 26% , alors que les 65 ans et plus, en représentent 15%. En un quart de siècle, l’âge moyen des Français a augmenté de 3 ans, passant de 35 ans à 38 ans.

On peut citer deux causes principales à ce vieillissement. La première est l’allongement continu de l’espérance de vie.

La seconde cause est la diminution continue de la fécondité: 1,7 enfants par femme, contre 1,8 en Allemagne.

Il faut cependant noter que les femmes ont des enfants plus tard et plus longtemps.

Entre 1950 et 1990 l’espérance de vie à 60 ans a doublé en toute l’Union européenne. Elle est aujourd’hui de 25 ans pour les femmes et de 20 ans pour les hommes en France. L’une des conséquences de cette évolution démographique est la multiplication des familles comportant quatre générations vivantes.

Un niveau d’éducation plus élevé

Entre 1946 et 1996 la proportion de titulaires d’un CAP ou BEP a triplé parmi les 25- 34 ans; la part des bacheliers est passé de 4% à 60%. 22% des Français de 15 ans et plus ont aujourd’hui le baccalauréat ou des diplômes plus élevés. En cinquante ans, la durée médiane des études a doublé. 23% des 18- 25 ans poursuivent des études supérieures.

Surtout, l’éducation des femmes a connu une progression spectaculaire: elles sont aujourd’hui plus nombreuses que les hommes à obtenir le baccalauréat et sont majoritaires dans l’enseignement supérieur. Celles qui ont entre 25 et34 ans sont donc plus diplômées que les hommes. Cette évolution explique le poids croissant des femmes dans la vie économique et sociale.

Un pouvoir d’achat en augmentation

Le pouvoir d’achat des salaires nets a été multiplié par 2,5 en francs constants entre 1960 et 1994. Le salaire moyen était supérieur en 1997 à 10000 F par mois. Le revenu disponible moyen des ménages atteint 20000 F par mois. La crise économique qui sévit depuis 1973 n’a donc pas interrompu l’accroissement du revenu moyen, qui a augmenté de 60% entre 1970 et 1990 en francs constants.

Il est donc faux de penser que le pouvoir d’achat a régressé avec la crise économique. Mais il faut préciser que son rythme de progression a diminué par rapport à celui de Trente Glorieuse, pareille comme en Allemagne où le pouvoir d’achat augment aussi, même que son progression a aussi diminué par rapport à celui du «Wirtschaftswunder» .

De plus, en France les inégalités se sont accrues entre les jeunes, dont le pouvoir d’achat est stagnant par rapport à celui qu’avaient leurs parents au même âge

Le chômage- la politique de l’emploi- les politiques d’insertion des jeunes

L’évolution du chômage

En France, le taux de chômage global était inférieur à 3% jusqu’à la crise pétrolière de 1974. A l’exception de la période de nette croissance de l’économie entre 1986 et 1989 et de la courte reprise de 1994- 1995, il n’a cessé ensuite de croître jusqu’à la fin de l’année 1996, culminant à cette date à 12,7%.

A compter du milieu des années quatre- vingt, le chômage a été en moyenne plus élevé en France que dans les autres pays européens. Ainsi le taux de chômage des jeunes Français apparaît parmi les plus élevés en Europe. La situation relative de la France s’améliore cependant si l’on considère la part des jeunes chômeurs dans la population totale. En effet, du fait de la prolongation de la scolarité, les moins de 25 ans sont de moins en moins nombreux dans la population active.

Avec le fort accroissement du chômage intervenu à compter de 1990, toutes les catégories de population ont été touchées, même celles qui avaient été jusque- là relativement épargnées. Certes, les jeunes, les femmes, les non- diplômes, les ouvriers et les employés sont restés les plus exposés mais, entre 1990 et 1996, l’écart relatif entre les taux de chômage des différentes catégories a diminué. Cette évolution se traduit également dans l’espace: les taux de chômages se sont rapprochés entre les régions françaises. Malgré un effort important des politiques d’emploi pour réduire le chômage de longue durée, le nombre de personnes inscrites à l’ANPE (Agence nationale pour l’emploi) qui recherchent un emploi depuis plus d’un an a tendanciellement crû au cours des années quatre- vingt- dix.

En 1996, 42% des demandeurs d’emploi s’inscrivant à l’ANPE le faisaient consécutivement à une fin de contrat à durée déterminée (CDD) ou à une mission d’intérim. Près de la moitié des offres d’emploi déposées à l’ANPE concernaient des emplois de moins de six mois. De telle circonstances induisent une forte récurrence du chômage : 42% des inscriptions correspondent à des réinscriptions dans une délai de moins d’un an.

En plus, les effectifs du régime d’assurance chômage ont baissé alors qu’augmentait le nombre de bénéficiaires de l’allocation de solidarité spécifique prise en charge par l’Etat

La politique de l’emploi

Après ce développement de chômage il fallait faire quelque chose. Tout d’abord le gouvernement sous Juppé commençait par «la loi Robien», qui existe de deux volets. Dans le volet dit «offensif» , la réduction de temps de travail doit être d’au moins 10% et entraîner des embauches correspondant à une augmentation de l’effectif moyen d’au moins 10% pendant une durée de deux ans. Dans le volet dit «défensif», la réduction de travail doit s’inscrire dans le cadre d’un plan social et permettre ainsi le maintien d’un volume d’emploi, si possible proportionnel à la réduction du temps de travail décidée. Cette «loi Robien» n’était pas obligatoire, mais si les entreprises la suivaient l’état les proposait des diminution des cotisations de sociales et patronales. En fait, le désir principal c’était la réduction de temps de travail. En plus, l’état a pris encore autres mesures d’emploi, surtout pour les jeunes, des apprentis. des chômeurs depuis longtemps, des ouvriers non- qualifiés et des groupes problématiques.

Finalement Jospin créait «l’union de travail» en 1998, un rencontre d’entreprises, syndicat et du gouvernement. Le désir principal était encore la réduction de temps de travail. Cette fois le gouvernement avait déjà pris l’idée fixe de 35 heures par semaine. Cette suggestion causait beaucoup de

Mais malgré ca Jospin est respecté en public et les taux de chômage baissent.

Les politiques d’insertion des jeunes

Les vingt dernières années sont marquées par la complexification des dispositifs d’insertion des jeunes et par l’accroissement très important des sommes qui leur sont consacrées. Il y a des actions dans le secteur privé et dans le secteur public. Dans le secteur privé on a pris d’incitation à l’embauche par la création d’emplois par l’allégement des coûts salariaux

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Details

Titel
Les changements dans la societé
Hochschule
Universität Stuttgart
Veranstaltung
Proseminar `Aspects de la vie en France- les jeunes et l`emploi`
Note
2,3
Autor
Jahr
1999
Seiten
6
Katalognummer
V98025
ISBN (eBook)
9783638964760
Dateigröße
381 KB
Sprache
Deutsch
Anmerkungen
Kann das Inhaltsverzeichnis leider nicht mehr finden :-(
Schlagworte
Proseminar, France-
Arbeit zitieren
Susana Catalina (Autor:in), 1999, Les changements dans la societé, München, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/98025

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