Les premiers ambassadeurs français à Konstantinopel
En 1535 un ambassadeur continuel de la France était envoyé à Konstantinopel. Des diplomates du tempérament différent suivaient le premier ambassadeur, Jean de la Forét. Après la mort de Jean de la Forét, Antoine de Rincon a pris sa mission. Le dernier ambassadeur sous le règne de François I était Antoine Escalin d'Aimars, en 1541 jusqu’à 1547. Malgré les bonnes relations entre la France et l'empire ottoman, François I et le sultan Soliman I ont convenu aucune alliance formelle au sens militaire, ils n’ont signé aucun pacte d'assistance...
Les premiers ambassadeurs français à Konstantinopel
En 1535 un ambassadeur continuel de la France était envoyé à Konstantinopel. Des diplomates du tempérament différent suivaient le premier ambassadeur, Jean de la Forét. Après la mort de Jean de la Forét, Antoine de Rincon a pris sa mission. Le dernier ambassadeur sous le règne de François I était Antoine Escalin d'Aimars, en 1541 jusqu’à 1547. Malgré les bonnes relations entre la France et l'empire ottoman, François I et le sultan Soliman I ont convenu aucune alliance formelle au sens militaire, ils n’ont signé aucun pacte d'assistance.
Une alliance formelle entre les "incrédules" et le "supérieur protecteur de la chrétienté" (Karl V) n’était pas possible pour François. Pour cela ils ont négocié un traité incluant "concernant les questions diverses de la manière pratique" déjà depuis 1528. L'élaboration du texte a devenu par les campagnes de Persan de sultan Soliman en retard. En 1536 un contrat mûr pour la signature existait alors. Ensuite le roi et le sultan ont fait la paix et amitié pour le reste de ses vies.
Le sultan assurait aux ressortissants du roi une propre juridiction dans des sujets civils et sujets pénaux et l'exercice libre de sa religion sur le territoire d’ottomanes. Tous les Français qui ont été dans l'esclavage d’ottomanes se sont libéres immédiatement. C'était le premier traité d'amitié entre les ottomanes et les français.
La signature d'un document de 1536 n'est pas couverte historiquement. Il est établi que se trouve seulement qu'une conception existait de la même façon après le retour le sultan Soliman de la campagne de Persan. Le contrat estcomplètement public depuis le 19ème siècle.
Cependant, le projet d'accord ottoman-français de 1536 a eu une importance historique concernantla relation des deux empires: Il était en vigueur comme le point de départ et modèle pour les célèbres "capitulations" (Ahdnâme). Avec cela on a qualifié un catalogue des privilèges lesquels ont rangé par contrat ottoman aux ressortissants des pouvoirs européens sur son territoire.
"Des capitulations" étaient répétées avec la France, plus tard aussi avec l'Angleterre et beaucoup d'autres pays de manière convenue. L'indication ne doit pas tromper, car elle n'a rien du tout à faire avec une capitulation au sens usuel. "La capitulation" est au contraire en cette relation une notion neutre parce qu'il qualifie seulement la répartition rédactionnelle d'un document dans "le chapitre".
Années probatoires de l'alliance entre le lys et l’empire d’ottomane :
Les relations ont été chargées encore plus sérieusement après la mort de roi François I de la France, entre les deux empires. L'ambassadeur français Michel de Codignac (1553-1556) était très important.
L'ambassadeur Jean Cavenac de la Vigne a conseillé le 20 octobre 1559 à son roi un éloignement définitif sur la porte, on devait rompre avec ces "chiens de barbare", pour que l'on gagne la chrétienté, l'empereur et les Allemands de nouveau pour lui-même. Cependant à la cassure, il n'en venait ni en 1559 ni après cela. Le roi Henri II savait quelle importance l’alliance de la France et l’empire ottoman avait pour la politique mondiale.
L'ennemi héréditaire (Habsbourg) était la même comme l'intérêt du royaume de la France et l'empire ottoman était commun.
Les ambassadeurs français sans cesse ont lutté contre des bruits à la cour du sultan, qui signifiaient que les Français ont élaboré secrètement des plans belliqueux contre les ottomanes. Mais le roi français s'est appliqué vraiment à approfondir l'alliance avec les ottomanes. Ainsi il a envoyé Christophe Richer de Thorigny dans l'empire ottoman pour faire des études sur la civilisation ottoman. Dans ses enregistrements, Richer s’est prononcé très positivement de la culture et société des ottomanes.
Les relations entre les deux empires se sont chargées encore plus sérieusement après la mort de roi François I de la France en 1547. L'ambassadeur français Michel de Codignac (1553-1556) était très important à ce temps pour la relation franco-turque.
Dans un débat avec le grand vizir sévère Rüstem Paşa en 1556, concernant des difficultés de la manière protocolaire, il a accroché le grand vizir ottoman dans un extrêmement non diplomatique, avec l'indication que la France a pressé l'empereur Karl V à la guerre sur deux fronts et a rendu que les conquêtes ottomanes étaient seulement à cause de ces actions possibles. Une offense plus grande au sultan et en face de l'empire n'était pas imaginable.
Actions militaires communes
Bien qu'entre la France et l'empire ottoman ne réussisse formellement aucune alliance militaire, plusieurs opérations militaires ont été menées, pourtant, en commun contre l'ennemi héréditaire. Commencé avec l'attaque de la flotte ottomane sur Gênes et Milanese (1534-35), sous le commandement de Hayreddin Barbarossa Paşa, le sud de la France a été protégé par les canons d’ottomanes si bien que roi François puisse se concentrer sur les opérations de pays. Quand Tunis est prispar Karl V en 1535, la flotte ottomane s’est retirée à Alger.
A la guerre italienne en 1536-38, une flotte franco-ottoman a entrepris plusieurs opérations, aussi comme l'attaque sur l'île Ibiza (1536) et la dévastation de la côte espagnole entre Tortosa et Collioure. La flotte hiverne à Marseille. En 1537 la flotte ottomane sous la direction de Hayreddin Barbarossa Paşa attaque l'Italie du Sud et Naples pendant que 300.000 troupes ottomanes se sont préparées en Albanie pour une invasion en Italie. Roi François attaque, entre-temps, l'Italie du Nord avec 50.000 troupes. Mais l'invasion de l'Italie est abandonnée par le chiffre des grandes pertes à l'attaque sur Castro à Apulia.
L'alliance après l'ère Süleyman
Aussi les sultans suivants après Süleyman I restaient fidèles à l'avenir de l'alliance : Le sultan Selim II Han et le roi Karl IX ont conclu en 1569 le premier contrat historiquement. En 1601 le sultan Mehmed III et le roi Henri IV se sont mis d'accord sur un traité de paix et une capitulation. Pendant que la France a été influencée par le "mode de Turc", aussi nommé Turquerie, on s'est orienté dans Konstantinopel au style français. Donc, avec Ludwig XIV "le roi de soleil" il y avait certains incidents qui ont chargé difficilement l'alliance : Quand l'envoyé de l'empire ottoman Müteferrika Süleyman Ağa est arrivé à Versailles et a reçu une audience chez le roi français, il a refusé la révérence le roi avec les mots "Je m'incline seulement devant mon grand monsieur." Donc, l'ambassadeur a été exilé par Ludwig XIV à Paris.
Quand en 1684 en Europe la sainte ligue s’est formée contre les ottomanes, la France a refusé sa participation. Ludwig XIV a encouragé le sultan Mehmed IV avec des lettres pour le supporter dans la lutte contre Habsbourg
Sous la direction de sultan Mahmud I. Han a servi le Français Claude Alexandre Comte Bonneval, qui a entrepris les premières modernisations de l'armée des ottomanes. En 1783 le roi Ludwig XVI a envoyé une mission militaire française dans l'empire ottoman pour réformer la nature de marine ottoman. Jusqu'à 1789, plus de 300 officiers d'artillerie français et ingénieurs servaient dans l'empire ottoman.
La France révolutionnaire et Napoléon I.
Impressionné par la révolution française, le sultan Selim III a demandé l'aide de la France pour l'installation d'une nouvelle armée (Nizam-i Cedid). En 1795 les officiers français ont été mis de nouveau dans les services d’ottomanes et un traité d'alliance avec Raymond Verniac a été signé. La vieille amitié entre les ottomanes et Français a fini de facto par l'entrée des troupes françaises en Egypte en 1798.
Rétablir sous le prétexte, l'autorité du sultan en Egypte et rompre enfin ainsi le pouvoir de mamelouks, 14.000 soldats ont atterrissé à Abukir. Certes, l'armée de Napoléon a pu être arrêtée à la forteresse Akkon, mais la carte était perdue depuis longtemps avec cela pour la France. Napoléon s’est qualifié dans son projet même, comme ami du sultan.
Mais le sultan Selim III a expliqué la guerre contre la France et s'alliait avec l'Angleterre et la Russie.
Après l'expédition échouée, Napoléon a revenu en France où il s'est emparé du pouvoir. Le sultan Mustafa IV a envoyé l'ambassadeur Halet Efendi à Paris pour sa cérémonie de couronnement.
Dans la guerre russe-ottomane en 1806-12 la France était au côté de l'empire ottoman
La guerre entre l’Anglettere et l'empire ottoman qui était au même temps en 1807-1809, a été gagné par les ottomanes a mené vers la neutralité l'empire ottoman aux guerres napoléoniennes. Le traité des Dardanelles en 1809, certes, afini la guerre que l'empire ottoman s'est engagé, donc à ne laisser aucun bateau étranger par Bosphore. Seulement au congrès viennois en 1815 l'empire ottoman a atteigné en arrière son état quo.
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- Citation du texte
- Ümit Sözer (Auteur), 2011, Les relations franco-turques depuis 1535 jusqu'à la 20ème siècle, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/182993
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