Des économies du savoir sur l'orient à l'exemple du roman "Siddhartha" d'Hermann Hesse


Exposé Écrit pour un Séminaire / Cours, 2015

22 Pages, Note: 1,7


Extrait


Table des matières

1. Introduction

2. Le discours sur l'orient selon E. Said
2.1. Les hypothèses principales de sa théorie
2.2. La classification du traitement du savoir sur l'orient selon Said

3. Le proche et l'étrange - Aperçu des éléments d'ouest et d'est dans « Siddhartha »
3.1. Les constellations de l'être et leurs fonctions
3.2. Les conceptions de l'être - Le protagoniste comme représentant
3.3. Le Bouddha hessien - L'essai d'une synthèse entre les cultures

4. « Siddhartha » comme œuvre orientaliste
4.1. Discussion : L'ego et le projet en relation
4.2. L'Allemagne et le « new orientalisme »

5. Récapitulation des connaissances gagnées au cours du travail

1. Introduction

Hermann Hesse est fils des parents missionnaires qui travaillaient en Inde et qui l'ont encouragé à lire des œuvres indiennes anciennes. Les lettres croient lui capable d'un traitement critique du bouddhisme, une conviction qui est pour la plupart liée à son roman « Siddhartha ». Dans ceci, il se présente autant comme transformateurs des idées de l'est que critique. Hesse a une manière sélective de traiter ses connaissances sur Inde ; il évite, on dira, de se mettre au service de la religion bouddhiste mais il développe une philosophie soi-même qui a des congruences conceptuelles ainsi que ponctuelles avec le bouddhisme. À départ de cette observation, on va examiner la philosophie présentée dans « Siddhartha » sur le fond de son inspiration orientale.

On en vient à soupçonner que l'intégration de l'élément indien et du bouddhisme ne sert qu'à transmettre sa propre philosophie, donc qu'Hesse l'instrumentalise pour sa démarche. Pour aller au fond de cette observation, on traitera et classifiera les autres traits indiens à part du bouddhisme comme le lieu poétique et la construction des personnages.

Il sera important de bien distinguer l'élément indien soi servant comme aspect de la forme soi comme aspect du contenu. On va voir qu'il y a des chevauchements entre les idées d'Hesse et celles du bouddhisme. Donc, on consacrera un chapitre de ce travail pour expliquer pourquoi à certaines parties on observe des congruences idéelles en remarquant la détermination avec laquelle Hesse a choisi le lieu de « Siddhartha ». Pour vérifier l'impression sur le traitement d'un sujet oriental on va comparer et discuter la méthode et le poursuit d'Hesse d'intégrer des connaissances sur Inde avec la littérature secondaire dans le cadre d'orientalisme en se souvenant de la position culturelle de l'auteur.

Pour achever un résultat synthétique, je vais aussi me concentrer sur le protagoniste qui, en appartenant au monde de l'est et en trouvant de la balance dans une philosophie artificielle, fonctionne comme l'arche entre le lecteur et le monde poétique.

Pour ce travail je poursuit donc la structure suivante : Après l'introduction on s'approche à la théorie d'un des plus importants orientalistes, Edward Said, pour traiter le sujet d'orient dans les romans occidentaux d'une manière adéquate. Said a analysé un grand parti d'œuvres orientalistes et abstrait trois types principaux du traitement de l'élément oriental dans ces œuvres, qui seront présentés dans le chapitre 2.2. Ensuite, on se tourna vers l'exemple pratique en identifiant certains personnages importants du roman comme représentant de l'esprit indien qui se montre dans leurs constructions narratives et aussi dans leurs manières d'influencer le protagoniste Siddhartha en matière de sa recherche spirituelle.

En conséquence on se tourne envers lui en examinant sa signification dans la transmission de la philosophie d'un point de vue réceptive. On va remarquer qu'avec Siddhartha, Hesse a construit un personnage avec des traits de l'ouest. Pour même justifier le choix d'un contexte indien on traitera plus profondément la philosophie transmise dans le roman qui comme on va voir « a besoin » d'un tel environnement.

On va parler d'une synthèse des éléments d'est et d'ouest grâce à leur forte imbrication de la part de la forme et du contenu, des idées. Pour terminer les observations je vais recourir à mon point de départ : la théorie de la littérature orientaliste selon Said et son aptitude pour « Siddhartha ». Un court chapitre sur l'orientalisme en Allemagne sera intégré pour synthétiser l'arrière-plan théorique avec le matériel. Ce travail termine avec un résumé des connaissances gagnées.

2. Le discours sur l'orient selon E. Said

2.1. Les hypothèses principales de sa théorie

Né à Israël et grandit en Égypte, l'orientaliste et chercheur en littérature, Edward Said a publié son chef-d'œuvre « Orientalisme » en 1978 qui discute le traitement1 de l'orient du part de l'ouest dans le cadre scientifique ainsi que littéraire. Said s'approche à l'orientalisme d'une manière historique discursive2 qui est inspiré de l'analyse du discours selon Foucault.

À partir de cette remarque, il reconstruit l'orientalisme comme un discours, caractérisé de stabilité et continuité3 incorporant des traits communs des images de l'orient dans la culture européenne en achevant un résultat, on dira, d'une homogénéité étonnante. Il fait grand cas de répéter que le traitement de l'orient n'est qu'une objection de la part de l'occident qui a peu à faire avec la réalité. Ce qu'il appelle « formation », resp. « déformation »4 de l'orient se produit, comme il explique, avec un but précis.

Selon Said la discipline scientifique de l'orientalisme était de son début instrumentalisée pour maîtriser l'orient5 en construisant son identité et en cultivant une certaine connaissance de lui. Cela veut dire qu'il s'agit de la construction d'un contre-pied de l'ouest en termes sociologiques, idéologiques, économiques, religieux, etc.6 qui résulte dans le sentiment d'être supérieur à l'est. Du fait de cette relation de pouvoir on ne peut pas, selon Said, amasser des connaissances objectives sur l'orient mais on les intègre dans le service de l'orientalisme7. On établit des dichotomies en décrivant la relation entre est et ouest en créant un caractère substantiel de l'orient mais aussi de soi-même. Comme ça une pratique commune de l'ouest s'est formée de circonscrire « ein System von Möglichkeiten, Aussagen über den Orient zu machen. »8

2.2. La classification du traitement du savoir sur l'orient selon Said

Dans son chapitre « Latenter und manifester Orientalismus », Said traite l'interdépendance des connaissances des orientalistes de la vie publique, de l'État et de la littérature. Ce ne sont pas seulement les scientifiques qui se laissent influencer de leur environnement culturel en perdant leur point de vue objective. Eux aussi, ils influencent l'opinion publique de l'orient en lançant une certaine « Denkökonomie »9 de l'orient, une image qui est transportée surtout dans le secteur d'éducation.

Cette « administration »10 de l'orient se manifeste aussi dans la littérature qui peut bien sûr servir comme indicateur d'une opinion culturelle comme les auteurs sont souvent à la mesure de répondre à certains besoins qui existent actuellement dans la société soit de nature culturelle, nationale, économique, politique, etc.11.

Écrire sur l'orient se passe donc par le transport des connaissances qui sont comme on a appris liées à un cadre de penser occidental, non-objectif. De même le motif des littéraires, selon Said, peut varier entre la transmission des connaissances pour créer une image « authentique » de l'orient d'une qualité herméneutique12 ou de l'accentuer avec un attribut personnel que Said appelle « Stil » ou « Ästhetik »13. C'est important de dire que Said considère l'ego, le style de l'auteur, et le projet, montrer l'orient, en opposition. L'un appartenant au monde de l'ouest, l'autre au monde de l'est, il est à l'auteur de décider quoi mettre au premier plan (l'ego ou le projet) ou, comme on va voir, de surmonter la différence pour que son œuvre profite de tous les deux choses au même titre.

On peut faire la différence entre 3 types :

1. L'auteur cherche à faire et transmettre des observations objectives. L'ego se sacrifie au projet.

2. L'auteur collecte du matériel de l'orient pour son œuvre sans vouloir sacrifier l'ego au projet. Au contraire l'ego envahit le projet.

3. L'auteur collecte du matériel de l'orient pour créer une œuvre qui intègre l'ego dans le projet. Le projet s'alimente de l'ego et vice versa.

Pour éviter d'avoir seulement un point de vue réceptive comme résultat des observations on va essayer de positionner « Siddhartha » comme œuvre orientaliste (d'un auteur occidental) dans la classification de Said des motifs de traiter des connaissances sur l'orient dans les œuvres occidentaux14. Comme Said l'a prévu, on va essayer de différencier un motif de l'autre dans le traitement du matériel de l'est en se posant les questions suivantes : Est-ce que l'auteur met ses connaissances sur l'orient en service de l'orientalisme ? Donc, est-ce qu'il y a des moments de formation ou de déformation de l'est ? Si oui, dans quelles éléments littéraires se manifestent cela et qu'est-ce qu'on peut en conclure ? Ou est-ce que la présentation des connaissances sur l'est est sans intention orientaliste ? Est-ce qu'il y a peut-être des déformations de l'est sans intention orientaliste per se ?

La méthode de ce travail se divise donc en deux pas : Premièrement on va analyser le matériel en se rendant compte de la structure du distribution de l'élément indien, qui va se concentrer non seulement sur des facteurs a priori comme le lieu poétique, l'ancienne Inde, mais aussi sur la structure intérieure des personnages et leur fonction dans la transmission de la philosophie hessienne. Ce dernier sera examiné à partir de sa contexte, donc en référence avec l'histoire, le lieu et les personnages. À la fin de l'analyse on sera capable de classifier le traitement des connaissances sur Inde dans « Siddhartha » selon la classification de Said.

Après, on va essayer à interpréter ce résultat en se tournant vers les motifs de la transmission des connaissances sur l'orient comme Said les indique. Comme Said voit l'œuvre d'un auteur sous l'arrière-plan du cercle culturel d'où il descend, on va discuter les observations, l'aptitude et la portée d'une telle interprétation.

3. Le proche et l'étrange - Aperçu des éléments d'ouest et d'est dans « Siddhartha »

3.1. Les constellations de l'être et leurs fonctions

À part du protagoniste Siddhartha, il y a quatre personnages qui jouent un rôle significatif dans le roman : Govinda, Kamala, Kamaswami et le passeur Vasudeva15. Tous les quatre deviennent à un moment des compagnons de Siddhartha pour une époque de sa vie. Ils lui apprennent leurs manières de vivre qui se manifestent plus au moins dans leurs professions. Comme Siddhartha absorbe entièrement la vie de ses compagnons, il est possible de généraliser des sentiments, des observations, etc., du protagoniste sur la vie de ces compagnons en ayant en résultat un verdict vérifiable sur les manières de vivre différentes. La manière de raconter les rencontres de Siddhartha se passe principalement dans la même structure : Siddhartha cherchant la sagesse rencontre une personne et vit avec elle en s'ajustant à sa structure de vivre, en adaptant ses habitudes, etc. D'abord il se sent encore limité par sa coutume de songe d'avant mais après peu de temps il suit complètement une nouvelle manière de vivre. Il y a un moment de péripétie ou il réalise d'un impulse qu'il ne s'approche pas de la vérité qu'il cherche et met cela au compte de sa manière de vie courante. Il quitte assez brusquement sa vie en faisant un changement de lieu drastique (d'un village à une ville, d'un château à une cabine). Siddhartha se met à nouveau à chercher une nouvelle condition de vie. Finalement, les trois personnages premiers servent à former Siddhartha et dans leurs statut non sage lui aident à trouver la sagesse. Ils sont tous d'une construction narrative assez simple et rectiligne mais aussi exemplaire pour une société dans tous leurs membres et tous les moyens possibles de vivre en leurs priorités après lesquelles ils organisent leur vie16. Madison Brown17 voit une structure triadique dans le roman qui se lance dans les chemins de vie que Siddhartha suit : « The path of desire », « The path of renunciation » et « The Path of redemption ». Ce point de vue nous offre l'explication de la constellation des personnages : ce ne sont pas les quatre qui servent Siddhartha comme compagnon mais c'est lui qui les accompagne. Il est important de faire cette remarque pour qu'on peut parler d'une absorption totale de la vie d'autrui : il est celui qui s'ajuste. Par cela la protagoniste sert comme exemple de quelqu'un qui a vécu tous les « Paths », selon cette logique, du regard de l'état spirituel de Siddhartha le lecteur remarque la dureté et vérité des chemins de vie selon Hesse. Cette démonstration pratique, on dira, a pour l'explication de la philosophie d'Hesse un rayonnement particulier. En plus Siddhartha traite les quatre buts de la vie humaine aussi incarné dans les personnages que Siddhartha accompagne : kama (le plaisir), artha (la richesse), dharma (le service religieux) et moksha (la rédemption spirituelle)18. Selon Brown19 Kamala et Kamaswami, par exemple, suivent tous les deux le premier chemin de vie, celui du désir. L'une comme concubine a consacré sa vie à enseigner l'amour, elle se met au service du plaisir mais elle le reçoit aussi en choisissant ses amants selon leurs richesses et les cadeaux qu'ils offrent. Par cela elle est arrivé à vivre une vie de luxe qu'elle remplit avec des désirs divertissants. Comme on apprend à la page 69 elle n'est pas capable d'aimer et soupçonne que son but de vie ne peut pas être véritable et change plus tard pour moksha en choisissant le chemin de dharma quand elle suit le Bouddha avec son fils.

Siddhartha, le seul20 qui est arrivé à son but, qui est en termes de chemins de vie à ce passage congruent avec Kamala, a très tôt décliné ce chemin. Elle n'arrive pas à son but en mourant avant avoir eu rendu des services religieux. On peut interpréter sa mort comme déclination de cette combinaison de chemin et but, et surtout comme déclination fortifiée du service religieux.

3.2. Les conceptions de l'être - Le protagoniste comme représentant

Pour Hesse, il est non seulement important qu'une personne cherche à se transformer spirituellement mais aussi d'accepter ou même embrasser l'état de ne pas y arriver :

Each one of us is « ein Wurf zum Menschen hin, » and the journey to genuine humanity is unavoidably and creatively linked to the pain of yet not being fully human […] the gloom would then lie not in the presence of pain and asceticism but in man's acceptance, or possibly even idealization, of what is the most embryonic state of his being.21

À part de l'exemple de Siddhartha le lecteur peut remarquer qu'un changement de soi est possible sans imposer de la tension et en marquant l'importance de comprendre le perfectionnement d'une personne comme processus. Il peut sympathiser avec le chemin de moksha qui est le plus méritant mais aussi le plus dur.

[...]


1 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 9.

2 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 11. 3 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 313.

4 Ibid.

5 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 11.

6 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 11.

7 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 12, : « […] dank des Orientalismus ging […] mit dem Orient eine Reglementierung des Denkens und Handelns einher. »

8 Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 313.

9 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 313.

10 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 232, :« Auf diese Weise [sous la science de l'orientalisme] wird der Orient erforscht, gelehrt, verwaltet und in Stellungnahme gepackt. »

11 Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 313, « […] auf gewisse kulturelle, akademische, nationale, politische und ökonomische Erfordernisse der Zeit reagieren […] ».

12 À comparer : Said, Edward W. : Orientalismus. Frankfurt am Main, 2009, p. 193.

13 Malgré cette dénomination on apprend quand il continue d'expliquer les types de motifs qu'il s'agit plutôt d'une différenciation du contenu.

14 Ayant choisi cette méthode, j'ai décidé de quand même être prudent à qualifier un « motif » de l'auteur dans son traitement de l'est. Je pense que la classification de Said, qui est en tant que je la comprends, en effet basée sur une comparaison structurelle des images littéraires de l'est avec la réalité historique, est bien compatible pour mon projet. Mais il me semble qu'un traitement de l'orient qui s'intègre dans le discours orientaliste est possible sans intention de l'auteur de créer une œuvre orientaliste. Il faut dire que j'adapte cette méthode que Said a développée pour classifier la littérature de voyage en est à une œuvre qui se constitue principalement des connaissances des livres sur Inde donc la formation de l'orient dedans n'est pas liée à une propre expérience. De même on peut conclure qu'à cause des études de la littérature de l'origine de l'est comme source, les connaissances d'Hesse proviennent pas d'un contexte orientaliste. Comme ça, la formation, s'il y en a une, des connaissances sur l'orient se produisent dans le processus de la création de l'œuvre.

15 Ce passage est basé sur l'essai de Madison Brown. Elle n'inclut pas Vasudeva dans son observation, j'assume à cause de sa position spéciale d'être complet, arrivé au but, à comparer : Brown, Madison: « Toward a Perspective for the Indian Element in Hermann Hesse's Siddhartha », The German Quarterly, 49 (2), 1976, pp. 195-196.

16 « Er sah Händler handeln, Fürsten zur Jagd gehen […] Priester den Tag für die Aussaat bestimmen, Liebende lieben [...] », Hesse, Hermann : Siddhartha. Eine indische Dichtung. Frankfurt am Main, 1989, p. 16.

17 À comparer : Brown, Madison: « Toward a Perspective for the Indian Element in Hermann Hesse's Siddhartha », The German Quarterly, 49 (2), 1976, p. 195-196, les notions suivantes sont tirées de son essai. 7

18 Pour ne pas risquer d'imbriquer ses termes, je vais les utiliser comme suivantes : (Brown ne les explique pas.) Les buts sont ce qu'une personne veut achever à la fin de sa vie, les chemins ce que l'y amènent.

19 À comparer : Brown, Madison: « Toward a Perspective for the Indian Element in Hermann Hesse's Siddhartha », The German Quarterly, 49 (2), 1976, pp. 195-196.

20 Avec Vasudeva. Concernant Govinda le fin reste ouvert.

21 Paslick, Robert H. : Dialectic and non-attachment: The structure of Hermann Hesse's "Siddhartha". [Version éléctronique]. ProQuest, 27 (1), 1973, p. 65.

Fin de l'extrait de 22 pages

Résumé des informations

Titre
Des économies du savoir sur l'orient à l'exemple du roman "Siddhartha" d'Hermann Hesse
Université
Humboldt-University of Berlin  (Institut für Romanistik)
Note
1,7
Auteur
Année
2015
Pages
22
N° de catalogue
V322795
ISBN (ebook)
9783668219731
ISBN (Livre)
9783668219748
Taille d'un fichier
602 KB
Langue
Français
Mots clés
Hermann Hesse, Siddhartha, philosophie, bouddhisme
Citation du texte
Nicole Fischer (Auteur), 2015, Des économies du savoir sur l'orient à l'exemple du roman "Siddhartha" d'Hermann Hesse, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/322795

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