Les horreurs de la deuxième guerre mondiale durant laquelle le monde du XXè siècle a vécu les pires dégradations de la dignité humaine ont conduit la «famille humaine» à adopter le 10 Décembre 1948, la Déclaration Universelle des droits de l'homme.
Par la suite, le souci de rendre concrets ces «droits inhérents à la personne humaine» dans la perspective de leur meilleure protection a conduit la doctrine à adopter une catégorisation dualiste desdits droits. Catégorisation qui, elle-même, est fonction du type d'acteurs sociaux soutenant tel ou tel autre droit.
C'est ainsi qu'en 1966, les Nations Unies ont adopté deux pactes relatifs l'un aux droits dits de la première génération: il s'agit des droits civils et politiques; et l'autre aux droits dits de la deuxième génération, à savoir les droits économiques, sociaux et culturels. Les auteurs ont d'ailleurs qualifié cette deuxième catégorie de «créances» de l'Etat sur la collectivité.
Une troisième génération des droits de l'homme, cette fois-ci motivée non plus par les individus ou l'Etat, mais par la communauté internationale toute entière va naître, il s'agit des droit dits de la solidarité (le droit à un environnement sain, le droit à l'eau potable, le droit à la paix, le droit au développement. bref, le droit au «bien être»). En effet, dans les débuts des années 70, une nouvelle idée motivée par les nouveaux Etats indépendants d'Afrique et d'ailleurs ayant accédé à l'Organisation des Nations Unies émerge et se consolide progressivement, manifestant le souci qu'il y a à combler le retard' de ces Etat du fait de la colonisation.
Tel est le point de départ d'un nouvel engagement non plus seulement des nouveaux Etats indépendants mais, de toute la communauté internationale à oeuvrer pour la réalisation d'«un monde meilleur pour tous». En réalité, à la suite d'une réflexion profonde sur cette troisième génération des droits de l'Homme, l'on ne peut qu'être tenté de la considérer comme étant une synthèse des deux premières générations, l'une et l'autre se révélant nécessairement complémentaires pour la réalisation d'un «mieux être» pour les hommes.
Inhaltsverzeichnis
- INTRODUCTION
- I. LA PAUVRETE EST NEFASTE POUR LES DROITS DE L'HOMME
- A-LA PAUVRETE CONDUIT AUSSI A LA NEGATION DES DROITS ECONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS
- B. LA PAUVRETE COMPROMET LES DROITS CIVILS ET POLITIQUES ET FATALEMENT, LE DROIT AU DEVELOPPEMENT ET A LA SOLIDARITE.
- II - LA BONNE GOUVERNANCE, UN POMPIER AU SECOURS DES DROITS DE L'HOMME EN PROIE A LA PAUVRETE:
- A. LE PRINCIPE DE PARTICIPATION:
- B. LE PRINCIPE DE TRANSPARENCE:
- CONCLUSION
Zielsetzung und Themenschwerpunkte
Dieser Text untersucht die komplexe Beziehung zwischen Armut und Menschenrechten. Er analysiert die negativen Auswirkungen der Armut auf die verschiedenen Generationen von Menschenrechten und beleuchtet die Rolle der guten Regierungsführung als potenzielles Instrument zur Bewältigung dieser Herausforderungen und zur Förderung der Menschenrechte.
- Die Auswirkungen der Armut auf die verschiedenen Generationen der Menschenrechte
- Die Rolle der guten Regierungsführung bei der Bekämpfung der Armut
- Die Bedeutung der politischen Willensbildung zur Förderung der Menschenrechte
- Die Beziehung zwischen materieller und moralischer Armut im Kontext der Menschenrechte
- Der Einfluss der Armut auf die Vollendung von Menschenrechten wie Bildung, Gesundheit und Arbeit
Zusammenfassung der Kapitel
Die Einleitung legt den Kontext der Menschenrechte nach dem Zweiten Weltkrieg dar und erläutert die Entwicklung der drei Generationen von Menschenrechten. Sie führt den Begriff der guten Regierungsführung ein, die eine Schlüsselrolle bei der Bekämpfung der Armut und der Förderung der Menschenrechte spielen kann.
Kapitel I befasst sich mit den negativen Auswirkungen der Armut auf die Menschenrechte. Es werden die Auswirkungen der Armut auf die wirtschaftlichen, sozialen und kulturellen Rechte der zweiten Generation und auf die zivilen und politischen Rechte der ersten Generation erörtert. Zudem wird betont, dass die Armut auch die Rechte der dritten Generation, insbesondere das Recht auf Entwicklung und Solidarität, beeinträchtigt.
Kapitel II untersucht den Beitrag der guten Regierungsführung zur Bewältigung der Armut und zur Förderung der Menschenrechte. Es werden die Prinzipien der Beteiligung und der Transparenz als wesentliche Elemente der guten Regierungsführung hervorgehoben, die entscheidend für die Realisierung der Menschenrechte sind.
Schlüsselwörter
Die wichtigsten Schlüsselwörter und Themen des Textes sind Armut, Menschenrechte, gute Regierungsführung, politische Willensbildung, wirtschaftliche, soziale und kulturelle Rechte, zivile und politische Rechte, Entwicklung, Solidarität, Beteiligung, Transparenz.
- Citation du texte
- Bigirimana Fructuose (Auteur), 2018, Pauvreté et droits de l'homme dans une relation complexe avec la gouvernance, Munich, GRIN Verlag, https://www.grin.com/document/417390